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Un titre identique, des desseins différents

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Light G. Hawk
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Light G. Hawk
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MessageSujet: Un titre identique, des desseins différents Un titre identique, des desseins différents  EmptyVen 8 Mai - 16:40

Cela faisait maintenant quelques mois que la marine avais intronisé Light en tant que Shichibukai. Le "phénix" venait donc de se débarrasser d'un énorme fardeau qui le ralentissait dans sa lutte contre la piraterie: la discrétion.

Dorénavant il n'avait plus à s'en faire. Sa prime gelé, il n'avait plus à se dissimuler à la vue des omniprésents soldats de la marine. Il pouvait arpenter les rues sereinement. Fort de sa nouvelle liberté Light pouvait dorénavant se recentrer sur son objectif ultime: trouver ses parents et les détruire!

Cependant l'immortel corsaire, est un homme très réceptif à son environnement. Et sa curiosité le poussait souvent à faire des choses insensées.

Il faisait maintenant parti des sept grands corsaires. Mais que valait réelement ses capitaines pirates à la solde du gouvernement mondial? Qu'elles étaient leurs motivations? Tant de questions qui poussèrent l'immortel Shichibukai à contacter les autres grands corsaires pour leur lancer un défi.

Light voulait tous les rencontrer un à un pour discuter avec eux et tester leurs aptitudes aux combats. Risqué me direz vous! Pour le blond aux longue jambes, non. Après tout il ne pouvait pas être blessé plus de quelques secondes. Avec son pouvoir il pouvait se prendre des coups et jauger la puissance de ses adversaires sans avoir aucunes séquelles de l'affrontement.

Pour sa première rencontre, il choisit une femme, la dénommé Raphaëlle A. Teppe, surnommé Azrael. La demoiselle est une personne que l'on peut décrire comme mystérieuse, car peut de choses sur son passé sont connu du grand publique. Light sait juste qu'elle a un jour fait partie de la marine. Mais son passé ne l'intéressait pas. Ce qu'il voulait s'était assuré le présent et le futur. Il désirait donc la rencontrer pour connaître ses convictions et ses aptitudes actuelles.

Il lui envoya donc une lettre , lui lançant simplement un défi. Il ne lui expliqua rien. la seule chose qu'il mentionna fut l'organisation d'un combat amicale.

Le lieu de rencontre des deux grands corsaires était Le Cap des Jumeaux, pour être plus précis devant le phare situé aux pieds des montagnes formant Reverse Montaine.

Un titre identique, des desseins différents  1420581259-cap-jumeaux

Les Immortels naviguaient, en ce jour ensoleillé, vers l'îlot marquant la transition entre les Blues et Grand Line. Light était pensif. N'ayant reçut aucune réponse de la part de Raphaëlle, il se demandait si la corsaire daignerai se montrer. Au pire ce n'était pas bien grave, il n'aurait qu'à se défouler sur les éventuels pirates qui tenterai de rejoindre Grand Line.

-Cap des jumeaux en approche capitaine! hurla Sarah.

Tandis que le bateau s'approchait des cotes, la rousse intervint une nouvelle fois:

-Hum! Il semblerai que votre invité soit là capitaine. Tu la ressens toi aussi, n'est ce pas, Hayata?
Déclara la tireuse avec un ton hautain, en adressant à sa camarade un clin d'œil provocateur.

L'épéiste répondit du tac au tac à la provocation:

-Bien sûr! Tu m'as prit pour qui? Je te rappelles que je maîtrise mieux le Haki de l'observation que toi! Tiens...

-Pardon? Tu veux qu'on se battes pour savoir qui anticipe le mieux les mouvement de l'autre?

S'emporta la rousse emportant par son propre jeu de provocation. Elle dégainèrent mutuellement leurs armes mais furent arrêté par les serres d'un oiseau. Le Shichibukai intervint dans la dispute des deux femmes en passant en forme hybride. D'un mouvement de bras il s'était envolé et avait agrippé les bras droits des deux femmes entre ses serres. Battant légèrement des ailes pour rester statique, Light s'adressa à ses membre d'équipage.

-Bon, j'y vais! Vous pouvez ancrer le navire ici et vous occuper comme vous le voulez.... Tant que le bateau reste nickel à mon retour!
Déclara le Phénix en dirigeant son regard vers les deux femmes qu'il immobilisait. Il lâcha alors son emprise et s'envola en direction de l'île.
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MessageSujet: Re: Un titre identique, des desseins différents Un titre identique, des desseins différents  EmptySam 9 Mai - 8:59


« – CAPITAINE ! »

Ta gueule O'Meara, le capitaine dort. Le pas furieux du maître d'équipage raisonne sur le pont juste au dessus de mes appartements. Capitaine, les hommes ont faim. Capitaine, les hommes ont froid. Capitaine, les hommes sont fatigués, ils en ont marre....J'ai saisis, merci de l'info. Vraiment.

Je me retourne sur ma paillasse pour tenter de trouver le sommeil, de me détendre un peu et donc accessoirement de dénouer les nœuds qui causent dans mon dos et ma nuque des crampes affreuses qui durent depuis plusieurs jours. C'est peine perdue. Les lattes de bois se mettent à trembler plus violemment cette fois et je crois distinguer des éclats de voix, les prémices d'une lutte physique et acharnée. MERDE !

« – C'QUOI CE BORDEL, ENCORE ?! »

J'ai hurlé de toute la puissance de ma voix. Bien qu'éraillée, elle porte et tout le monde se fige. Les homme se sont séparés en deux groupes distincts et dans leurs yeux tournés vers moi je distingue au mieux du dépit, au pire une haine et une colère affirmée. O'Meara s'approche, amaigri et brusque comme tout le monde ici.

« – Capitaine, les hommes estiment qu'ils ont le droit de savoir ou nous allons. »
« – Ah oui ? ils pensent qu'ils ont le droit ...Qui estime qu'il à quelconque droit ici ? »

O'Meara à flairé le danger et s'est reculé, avec prudence. Je bous silencieusement d'une rage difficilement contenue.

« – MOI ! » abois un marin à ma gauche.

Je remercie intérieurement tout les dieux que ce soit Wells qui l'ai ouverte en premier. Devant les autres. Parce qu'en plus d'être un mauvais matelot,, du genre qui rechigne à la tâche, il pue atrocement. Ce s'ra pas une grande perte. Je m'avance vers lui et les autres hommes font place nette sur mon passage.

« – Vous vous croyez en démocratie Monsieur Wells ? » je murmure dangereusement.

Il serre les dents comme s'il comprenait finalement sa situation. C'est hélas un peu trop tard. J'entends l'arrête de son nez se briser son mon poing et un coup de genoux dans le ventre le plie en deux , je le saisit brusquement à la gorge et le jette brutalement contre le bastingage la face en premier avant de le pousser naturellement par dessus bord. Ma voix basse, menaçante couvre son dernier appel à l'aide.

« – Quelqu'un d'autre à quelque envie de revendiquer ses droits ?  »

Je pense que c'est la première fois qu'ils prennent conscience du fait que je peux être aussi cruelle et efficace qu'un homme. Si ce n'est pire. Ils se retrouvent tous là, figés. Ahuris en fait.

« – Fort bien! »

Honnêtement si j'avais été un de mes hommes, j'aurais fait pareil ; pour dire la vérité j'aurais pas attendu de négocier avec le capitaine. Je l'aurais mutiné immédiatement, comme avec mon prédécesseur d'ailleurs, et sa bon dieu de destination fantôme, il l'aurait cherché seul à la nage. Ouais. Seulement , même s'ils ont raison, JE suis le capitaine et ils n'ont pas à douter de moi. Jamais alors les revendicateurs comme Wells il faut les tuer dans l’œuf avait qu'ils ne contamine tout l'équipage.

« – ET SORTEZ NOUS DE CES PUTAINS DE COURANTS BON DIEU D'MERDE! »

Je hurle en claquant la porte de ma cabine avec humeur. Mes yeux se posent sur la raison qui à motivé ce brusque changement de cap. Une lettre qui mes adressée, à moi en personne. Pas une sommation au «  Capitaine du Mon Chagrin », non une lettre qui est adressée à Raphaëlle Teppe. Ça m'a paru très étrange. Honnêtement, personne ne m'as plus appelée comme cela depuis des années. Même quand j'étais la Marine ce n'était plus le cas. L'expéditeur à été tout autant surprenant. Si ce n'est plus. Un Shichibukai.

Pour être parfaitement honnête je ne suis probablement pas la plus connu des Sept Corsaires. Certainement pas, en fait. Je suis sans doutes plus la personne sur laquelle on à des doutes sur le fait qu'elle en face effectivement partie ou non. Mais c'est quelque chose qui me va, parce que c'est arrangeant ; je suis bonne dans ce que je fais et les applications de mes attributions sont pratiquement illimitées quand elles sont bien utilisées. Naturellement je n'avais aucune obligation de me plier à une plaisanterie aussi douteuse et d'aussi mauvais goût que celle de ce blanc bec de nouveau venu. Et je ne l'aurai pas fait si je n'avais pas ressenti le besoin impérieux de tirer profit de la situation.

Le « Mon Chagrin » est un sacré bon bateau, mais il n'est pas adapté à mes rêves de grandeur et de liberté. Et il ne sied pas non plus à la grande compétence de mes hommes, alors après m'être renseignée sur le parcours de l'autre effronté dans la taverne la plus crasseuse du port d'une ville alentour et après avoir organisé une fausse réunion au sommet, les Maître et moi-même avons décidé qu'il était temps d'investir dans un bâtiment plus important.

Je dis fausse réunion, car je me suis contenter de leur cracher assez sèchement à la figure ce que j'attendais d'eux et que de toutes les manières ils n'ont pas à s'opposer à moi, et ça ils le savent. Nous avons donc à mon ordre abandonné notre plan de route en direction de West blue et fait voile en direction du Cap des Jumeaux.

Avec pour seul objectif de distraire l'attention du Capitaine Shichibukai et de prendre possession de son bateau et de son équipage. Je n'ai clairement pas assez d'hommes pour faire tourner un monstre pareil. Je suis ambitieuse mais pas téméraire et comme chacun sait, je ne suis pas franchement courageuse. Je ne me jette pas à corps perdu dans des entreprises risquées et qui n'ont que peu de chances d'être auréolées de succès. C'est encore la meilleure façon de durer dans ce métier.

« – TERRE EN VUE ! »

J'ai vraiment eût envie de faire bouffer mes huit poing à Mc Gregor quand sa voix à tonné sur le pont m'empêchant une nouvelle fois trouver le sommeil. J'ai vissé mon tricorne sur ma tête et j'ai laissé à Morgan Mc Gregor, mon second le soin de mettre en place le reste des opération avec tout le bon sens et l'intelligence dont il fait preuve depuis que je le connaît et je me suis mise en route.

J'étais déjà en place depuis vingt-minutes quand l'autre est arrivé, le soleil approchait de son zénith. Je suis fatiguée, mon dos est douloureux et cette sensation d être totalement à découvert m’oppresse. Mais j'ai fermé ma gueule. Je sais le faire parfois. Quand c'est profitable. J'ai entendu le bruit de ses pas avant de le voir. Mais quand sa silhouette s'est dessinée à la lisière de ce que je pouvais voir, je me suis contentée de me rasseoir en tailleur. J'ai craché par terre.

Pour être honnête.
Cette situation me fait déjà chier.
Vraiment , vraiment chier.
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Light G. Hawk
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MessageSujet: Re: Un titre identique, des desseins différents Un titre identique, des desseins différents  EmptySam 9 Mai - 20:43

L'immortel shichibukai avait rejoins l'îlot en volant. Il aurait directement pût rejoindre le phare de cette manière, mais il ne voulait pas révéler la nature de ses pouvoirs à Raphaëlle, du moins pas en l'approchant de cette manière. Light s'était donc posé sur le verdoyant sol du Cap des jumeaux. Retrouvant sa forme humaine il marcha jusqu'au point de rendez vous.

Ses nakama avaient raison, une femme se tenait non loin du phare. À en jugé par son attitude désinvolte il ne faisait aucun doute que c'était bien la personne qu'il devait rencontrer. Alors qu'il s'approchait d'elle, la corsaire se contenta de s'assoir en tailleur tout en crachant sur le côté. Encore une charmante personne à n'en pas douter. Mais par chance Light n'était pas le genre de personne à s'arrêter sur ses premières impressions.

Ne faisant cas de l'attitude de la femme, il continua donc de marcher dans sa direction. Bientôt il lui fit face de toute sa hauteur et s'adressa à elle en ces termes:

-Alors c'est toi, Raphaëlle A. Teppe... Je ne m'attendais pas à te voir ici!

Dit le phénix d'une voix calme et posé tout en lui tendant la main aussi bien pour la saluer que pour l'aider à se relever. Son buste penché vers son interlocutrice et ses genoux légèrement fléchit il reprit la parole:

-Je suis content que tu sois là. Comme tu le sais je n'ai rejoins que très récemment les sept grands corsaires. Je ne connais donc rien de vous... Ma curiosité m'as donc pousser à m'interroger sur vos convictions et vos capacités!

Il plongea alors son regard dans celui de Raphaëlle pour tenter de lire ses sentiments, puis il rajouta après quelques secondes de pause:

-Alors que veux tu faire en premier? Me parler ou me combattre? Moi, ça m'est égal tant que je peux voir le potentiel que tu dissimules en toi!

Déclara l'immortel Shichibukai en lui décochant un sourire. Malheureusement pour lui il y avait une troisième option envisageable: le fait que la corsaire se vexe, et s'en aille en lui laissant plus de réponses que d'interrogations. Espérons donc que son approche n'ai pas trop énervé la femme qui avait déjà l'air passablement énervé d'avoir eut à attendre l'arrivée de Light.
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MessageSujet: Re: Un titre identique, des desseins différents Un titre identique, des desseins différents  EmptySam 9 Mai - 21:58

Qu'on le veuille ou non le temps à fait de moi un vrai pirate. Plus un pirate qu'une femme. Je pue, je crache, je bois ...La vie en mer ce n'est pas quelque chose de tout repos, ce n'est pas quelque chose pour les midinettes , pas quelque chose pour les gens propres et qui se tiennent. Être Marin c'est lus qu'un métier c'est quelque chose que l'on vit chaque seconde de chaque jours et o se marie tant à la mer qu'au rafiot tout craquant sur lequel on vogue.

Je ne suis pas une personne maniérée, je ne suis pas une jeune femme plaisante, si j'ai eu une éducation je l'ai vite abandonnée en comprenant que cela ne me servirait à rien j'ai adopté les codes de ceux que je fréquente, de ceux auxquels j'appartiens. Je crois, que c'est quelque chose qui choque mon locuteur.

Je le vois à sa drôle de mimique.
J'ai une trop bonne vue. De trop bon sens en vérité.
Et je ne pense pas que je suis l'image qu'il se faisait d'une femme Corsaire. D'une femme Shichibukai. Il y en à une autre. J'en connais une autre. Une qui présente bien, une qui s'habille et qui ressemble à une femme, qui cause comme il faut et tout bien. Une femme, une que quand tu la voit tu comprend qu'elle représente la Loi, l'Autorité.

Cela dit, je ne représente ni l'un ni l'autre. Et je pense avoir arrêté d'être une femme il y à des années maintenant. Ce n'est pas pratique d'en être une. Agir comme tel à mon post n'apporte pas franchement grand chose. Et comme de toutes les façons je me moque de l'avis des gens. Pour être juste, je devrais dire que je me fiche des gens en général. ce n'est pas seulement leur avis après tout.

Il s'arrête. Pas trop loin. Pas trop proche non plus.
Mais je suis sure que je dois empester l'alcool, l'iode et le tabac froid même à la distance ou il se trouve. Il plante un regard torve dans le mien. Le regard du type sensé qui sait pourquoi il est ici. Celui qu'est pas venu pour être là. Ça m'agace. Ça m'agace vraiment.

« – Alors c'est toi, Raphaëlle Teppe ..Je ne m'attendais pas à te voir ici. »

C'est ça paie toi ma tronche en plus.
Si tu savais ...

Il tend la main, pendant qu'il parle. Il babille plus qu'il parle en vrai. Un étalage navrant de platitudes et d'évidence. Je préfère incliner la tête en guise de salut. La dernière fois que j'ai serré la pince d'un homme à l'alignement douteux je me suis retrouvée avec une épée plantée dans le flanc. J'aurais crus mourir, je crois que l'autre l'espérait aussi, mais fort heureusement pour moi je m'en suis pas trop mal tirée. Ça à laissé une cicatrice de plus. Physique et mentale. Je suis plus méfiante maintenant envers les mains tendues. D'autre part je n'ai pas l'intention de me relever dans l'immédiat.

Ce serai bien qu'il l'imprime assez rapidement.
Ça nous fera gagner un temps précieux.

« – Non je suis l'autre personne que tu as invité sans élégance dans ce traquenard. Tu aimes brutaliser les femmes , Jeune Maître ? »

Je crache avec venin à sa précédente affirmation.
Honnêtement je ne comprend pas pourquoi il est venu me trouver moi pour commencer. J'ai jamais rien demandé à personne que je sache. Et qu'on vienne pas me dire que c'est un retour de karma pour la prison que j'ai forcé il y à peut. Parce que ce serai pire que pitoyable et d'ailleurs personne n'est au courant que c'était mon fait. Il me semble en tout cas. Et même si c'était le cas, est-ce que moi je vais emmerder tout le monde avec ma curiosité mal placée ? Non. Voilà.

En attendant le blond-chercheur-de-noises, cause encore. Content que je sois venue ? Eh bien j'espère que tu n'as pas l’indécence de croire que le plaisir est partagé. Tu devrais plutôt remercier ma folie des grandeurs que l'efficacité de ta lettre. Et remercier aussi le réseau d'information de de Mc Gregor. Parce que sans lui il n'y avait aucune chance pour que je me pointe ici. Et certainement pas pour tes beaux yeux. chéri. A croire que le respect à totalement disparu de nos jours.

Il ne faut pas croire.
Je me moque du respect comme de ma première culotte. Mais c'est quelque chose d'assez pratique et exploitable chez les autres en temps normal. Il ne faudrait pas que les gens prennent l'habitude de me défier.

« – En vérité j'n'en savais rien. J'ai du demander des informations à mes camarades. Je ne suis pas quelqu'un de très impliqué dans les affaires des Shichibukai. pas très impliqué dans la vie des autres tout court, en fait. T'aurais du trouver quelqu'un d'autre pour ta petite expérience. »

Naturellement je ne me suis pas pointée pour te dire cela.
Il faudrait pas déconner non plus.

Sa curiosité me déplaît ; elle m’ emmerde. Je ne comprend pas ce besoin qu'on les gens de se mêler de la vie des autres. Qu'est-ce que ça peux bien lui faire ce que je recherche ? Moi pr exemple, je me fiche totalement de ce que désirent les autres corsaires et les autres en général. Leurs vies ne m'intéressent pas. Et c'est pas ça qui m'empêche de dormir la nuit. Je trouve ça malsain en fait, ce besoin impérieux de savoir ce que vivent les autres.

Et ça n'as surtout pas le moindre intérêt.
Autant consacrer toute cette énergie à quelque chose de bien plus lucratif. Mais je ne suis pas sure qu'il soit en mesure de comprendre.

« – J'aime à croire que mes convictions ne regardent que moi. C'est pas comme si j'avais choisis de renquiller pour la Marine. Je n'ai pas rejoint les sept parce que j'en avais envie, seulement parce que je voulais vivre. »

On m'as carrément forcé la main. Il faut l'avouer.
Et je sais être honnête, parfois. Je préférerai vraiment qu'il me lâche la grappe avec cette histoire. Parce que c'est ridicule et que je suis fatiguée. Mais je ne peux pas abréger l'entrevue. Je sais que mes hommes ont besoin de temps pour préparer l'abordage et s'emparer de l'autre bâtiment.

« – Par ailleurs je me suis renseignée sur toi et je ne vois pas pourquoi nous devrions nous battre. ça à l'air fatiguant et dangereux et aucun bénéfice pour moi à la clef. J'ai pas d'vies en réserve et mon temps est précieux, est-ce que j'ai seulement une bonne raison de me plier à ta farce douteuse? »

S'il pouvait comprendre sur le vif que je suis assez lâche.
Pour ne pas dire carrément lâche. Je l'ai dit. C'est la meilleure façon de survivre dans le métier.
Non vraiment ce serai assez bien qu'il saisisse tout seul que me battre c'est pas trop mon pêcher mignon et que dans la mesure du possible je préfère éviter quand je ne suis pas sûre de pouvoir remporter une écrasante victoire.

Le mec qui à dit qu'il ne fallait pas s'en prendre à plus faible que soit, était un crétin et un faible.
Honnêtement ou est l’intérêt de jouer si ce n'est pas pour gagner ?
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MessageSujet: Re: Un titre identique, des desseins différents Un titre identique, des desseins différents  EmptyDim 10 Mai - 12:15

La capitaine corsaire avait du caractère, c'était le moins qu'on puisse dire. En l'observant il se dit qu'il aurait nettement mieux fait de ramener quelques bouteilles de Rhum qu'il conservait dans son bateau. Ça aurait au moins eut le mérite de détendre l'atmosphère qui se fit encore plus pesante lorsque Raphaëlle ouvrit la bouche. Des sarcasmes, de l'ironie... Light avait l'habitude d'entendre de tel paroles, il ne fallait pas perdre de vue que lui aussi avait été un pirate. Pendant douze longues années il avait entendu les paroles insultantes de ses ennemis. Cependant les mots, tout comme les coups ne l'atteignaient pas longtemps.

Un traquenard, hein? C'est comme cela qu'elle voyait cette entrevue? Dans ce cas que faisait elle là? Après tout même le plus con et le plus téméraire des pirates ne se lancerait pas à corps perdu dans une entreprise voué à l'échec je me trompe? Elle avait sûrement une idée derrière la tête! Mais quoi? Il ne restait plus au phénix qu'à le découvrir!

Ramenant sa main vers lui en voyant que son interlocutrice la dédaignait, le blond aux longues jambes se redressa à nouveau de toute sa longueur en lui répondant sur un ton tout aussi sarcastique:

-Qui as dit que j'étais là pour frapper? Je suis en grande partie ici pour te parler! Et si tu penses que c'est un traquenard pourquoi es tu ici? Personne n'est assez fou pour se jeter dans la gueule du loup en sachant que celle-ci peut se refermer sur lui!

Par ces paroles le Shichibukai voulait faire entendre à sa camarade que sa venue était en opposition avec ces paroles. Ainsi elle comprendra aisément que Light la soupçonne déjà de comploter contre lui.

Tout comme lui la jeune femme avait effectuer quelques recherches avant la rencontre, elle savait donc sûrement la nature de ses pouvoirs. Tant pis il ferait avec. La Shichibukai semblait atterré par les agissements de Light. Certe elle ne le disait pas directement, fait étrange vue son ton antérieur, mais elle le laissait entendre. "Pas très concerné par les affaires des Shichibukai", "pas très impliqué dans la vie des autres", "ta petite expérience ". Par son champs lexical il était aisé de voir que Raphaëlle haïssait la curiosité envahissante du corsaire immortel.

Que voulez vous on ne peux pas plaire à tout le monde, et puis il est vraie que la curiosité est un défaut lorsqu'elle est poussé à son extrême! Peut être que, vouloir rencontrer et discuter avec les sept grands corsaires était une de ses extrémités qui rende la curiosité malsaine? Mais il n'arrêtera pas cette "expérience" pour autant. Après tout ils ne leur forçait pas la main. Les Shichibukai pouvaient naturellement décliner son offre, ce que Raphaëlle n'avait pas fait en faisant acte de présence.

Néanmoins, même si la brune au passée tumultueux était là elle ne semblait pas prête à parler! Mais elle finit tout de même par lâcher à Light une information sur le sujet qui l'intéressait: son attachement à son titre de Shchibukai! Alors comme ça elle avait rejoins les sept grands corsaires uniquement dans le but de faire geler sa prime? C'était compréhensible. Il fallait l'avouer même pour Light ce fut l'un des plus grand argument offert par son nouveau titre. Il soupira. Après tout il fallait si attendre. Si elle avait quitté la marine pour devenir pirate, ce n'était pas pour rappliquer quelques années plus tard! Bon sur le coup il ne fut guère étonné. Mais Raphelle reprit de plus belle. Elle ne semblait pas du tout enclin à l'affronter. Après tout il était normal qu'elle flippe si elle avait eu vent de son pouvoir.

-Tu flippes à l'idée de m'affronter, c'est normal après tout! Mais comme je te l'ai dit tout à l'heure, je veux juste évaluer tes compétences! Je ne compte pas te frapper! Allez puisque tu ne veux pas me parler montre moi au moins tes aptitudes de combat! Et ne me dis pas que tu sais pas te battre, on ne devient pas Shishibukai par miracle! Allez fait moi face et frappe moi!

Bon mis à part  la dernière phrase  qui hors contexte  vous semblerai légèrement sado-masochiste, tout le reste de l'élocution du phénix avait été dit dans un ton si familier à son interlocutrice: le sarcasme! Espérons que cette dernière relève la provocation sinon il n'aurait plus qu'à rejoindre son navire!

Attendant une réponse et un assaut de la part de la brune. Light commença à étirer ses membres, comme si il entamé un échauffement musculaire. Il ne semblait déjà plus porté une grande attention à la corsaire, continuant ses étirements en utilisant le phare comme support.
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MessageSujet: Re: Un titre identique, des desseins différents Un titre identique, des desseins différents  EmptyDim 10 Mai - 15:17


Même les fous ne viendraient pas dans un endroit ou ils sont sûrs de se faire attraper, qu'il dit, en essayant même de faire passer pour plus bête que je ne suis. Je veux dire, j'ai conscience du fait de ne pas être un génie, et que parfois c'est même à douter de mes capacités intellectuelles, mais pas au point qu'on me fasse croire que je ne sais pas ce que le mot « combat » veux dire. Il n'as peut-être pas tord sur la forme, mais je ne suis pas en accord avec lui.

Je ne crois pas être folle.
Je suis sûre que je ne le suis pas.
Le fait de ne pas avoir de moral n'est pas une marque d'aliénation.

Je suis venue, moi. Comme il le fait remarquer. Et je me rend compte qu'il dois se trouver totalement perplexe face à mes actions. Parce qu'elles ne sont pas en accord avec mes mots ; c'est pour ça que je n'aime pas les gens qui parlent et qui négocient. On peu dire n'importe quoi sans pour autant être capable de les accomplir en actes. Je suis ce genre de personne. Quand je ne cogne pas pour dire bonjour, je suis de ces personnes qui parlent pour embrouiller les autres et obtenir d'eux ce que je veux. C'est sans doutes pour cette raison que je ne peux pas voir les autres en peinture. Parce que je ne supporte pas l'image de moi qu'ils me renvoient.

« – Tu sais à quoi un type qui attire les autres dans un traquenard s'attend le moins? »

A tomber lui-même dans un guet-apens.
Ça à l'air évident comme cela, mais ça ne coule pas toujours de source. Je suis seulement venue pour le prendre à revers. Me battre parler de choses qui ne regardent que moi ne m'intéresse pas vraiment ; j'ai des projets , des désirs et me faire leurrer et emmerdée par tout les petits nouveaux de la confrérie n'en fait pas partie. Je sais saisir les occasions qui se présentent à moi et je sais qu'il n'est pas possible de partir sérieusement à l'abordage d'un plus grand navire avec le Mon Chagrin. J'adore ce bateau mais celui que je vise nécessite plus de matériel.

Je n'ai jamais réfléchi à ce que je ferais une fois que j'aurais réussi à prendre possession de ce que je veux. Je ne crois pas que ça ai de l'importance. La seule chose qui en a à cet instant c'est que cet homme à ce que je désire le plus. Un moyen de me rapprocher de mon propre but. Et l'équipage qu'il me faudra pour y parvenir.

Il est donc vital que je ne me laisse pas distraire. Que je ne le laisse pas se lasser et faire demi tour. Je ne dois pas oublier que si je suis venue c'est parce que j'y trouvais mon compte. Je suppose qu'il s'en doute plus ou moins mais je ne crois pas qu'il soit capable de saisir le pourquoi du comment.

C'est bien comme ça.
Vraiment bien.

J'ai fini par me mettre debout et par m'étirer pour détendre mes muscles endoloris.
Je suis soumise à plus de stress que je pensait dernièrement. Je ne me souvenais pas avoir eût autant de travail lorsque j'étais le Capitaine de La Venus. Il y à des choses qui me maquent un peu du temps ou je servait le gouvernement, un confort non négligeable qui était plaisant, mais j'aime la vie que je mène maintenant. Ça compense tout le reste. Et puis je commence à prendre de l'âge. Mon corps se remet plus difficilement des coups qu'il essuie qu'il y à quelques années. C'est frustrant. Vraiment frustrant.

Contrairement à ce qu'il avance , je n'ai pas vraiment peur.
J'ai seulement pas envie de prendre le risque ; il n'a pas l'air de comprendre que la provocation à peu d'impact sur les lâche dans mon genre. Mais je ne relève pas. Je ne vais pas démentir ce qu'il raconte. S'il crois que j'ai peur de me battre contre lui peut-être baissera t-il ses gardes ?

Ouais, faut pas rêver.
Je sais.

« – Alors c'est la que nous en sommes ...Tu ne sais toi même pas la raison pour laquelle j'ai été intégrée n'est-ce pas ? Tu crois que c'est nécessairement à cause de ma force de frappe. Que je suis physiquement impliquée dans cela , hein? »

Honnêtement , je pense que ce type est moins intelligent que je pensais.
Ce n'est pas uniquement son tors. Tout le monde pense qu'un Shichibukai est forcément une force de la nature. Je pense que je peux comprendre pourquoi, cela dit ce n'est pas mon cas.

Il serai totalement faux de dire que je ne sais pas me battre.
J'aime plutôt cela en règle générale. Je suis même sacrément douée, une épéiste que chacun craint. Sans doutes que la présence de mes cinq sabres à du lui mettre la puce à l'oreille. Mais les raison qui ont fait de moi un corsaire sont totalement indépendante de ce fait. Ce n'est pas en rapport avec le fruit que j'ai ingéré ou mes compétences en art martiaux.

J'ai tapoté mon front.
Réfléchis sombre crétin

« – T'as tord sur toute la ligne ~ Je sais des choses. Des choses importantes pour eux. Sais-tu qui à dessiné les plan de ton bateau ? Qui à fait ceux des navires de la Marine ? Est-ce que tu sais à quel point précis de la coque il faut frapper ton propre bâtiment pour le briser en deux ? »

Moi oui.
Et c'est précisément le problème. Je pourrais couler une frégate armée jusqu'aux dents avec mon maudit vieux Brick et m'en sortir sans une éraflure à la coque. Je ne suis pas seulement une bête à visage humain. Je suis un navigateur redoutable. Un armateur de génie. Je ne suis pas la personne que tu veux savoir en face en cas de guerre navale.

« – Tu vois, j'ai horreur des types comme toi. De ces marins du dimanche qui voguent sans savoir rien de la mer et de ce qu'elle cache ou des navires sur lesquels ils vivent pourtant. Je trouve ça répugnant et triste. Triste que de tels vaisseaux soient entre les mains d'incompétents notoires ...incapable de voir combien ils sont grands, beaux ... »

J'ai mordu dans ma langue. Avec mes crocs. Et mes yeux ont virés aux rouge sous mes paupières.
J'ai craché ma neurotoxine sur l'autre Corsaire. Celle qui est atrocement douloureuse. En fait j'ai vraiment envie de voir sa gueule d'ange se déformer sous la douleur et de voir la panique dans ses prunelles.

C'est pas parce que t'es immortel que tu n'es pas sensible à la douleur. Il voulait être frappé ? Il allait être servit.

J'ai mordu encore. Et j'ai craché. Pas sur lui , juste autour, cette brume à l'odeur macabre. Comme des cadavres en putréfactions. Celle qui est hallucinogène. Je suis insensible à ses effets , et cela fait bien longtemps que j'me suis habituée à l'odeur putride des charniers.

J'ai toujours seulement deux bras mais j'affiche un sourire bardé de crocs venimeux, les yeux plus rouges que le sang qui coule de ma bouche. Je me suis ouvert la langue en mordant.

« – Le savais-tu ? Mon venin est mortel s'il entre directement en contact avec ton sang . Enfin puisque tu ne peux pas mourir, je suppose que ça te ferais seulement halluciner et vivre de longues heures d'agonies jusqu'àce que ton organisme l'évacue totalement. s'il le peux... »

Je fabule un peu.
Mon venin peu être mortel mais cela demanderai une morsure de plusieurs secondes. Donc une proie totalement immobile. C'est difficile à obtenir.

Il est pas obligé de le savoir.
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Light G. Hawk
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MessageSujet: Re: Un titre identique, des desseins différents Un titre identique, des desseins différents  EmptyLun 11 Mai - 22:15

Est fou celui qui est rejeté par une société normalisé. Est fou celui qui vit en marge de cette société. Mais la folie n'est que subjective, c'est un état de fait constaté déviant par le plus grand nombre. Mais si la folie gagnait brusquement tout un chacun, pourrait on toujours parler de folie? La folie deviendrait elle normalité, et la normalité ,folie? La folie était un concept bien trop étrange pour être approché si superficiellement. Light comme Raphaëlle était tout deux considérés comme des fous, comme des monstre par la population planétaire. Sur ce point au moins les deux corsaires étaient à armes égales.

La Shichibukai posa alors une question à l'homme au longues jambes. C'était une question pleine de sens et de... Sous entendu si je ne m'abuse! Le phénix leva les yeux fixant un point à gauche. Il réfléchissait à la question, supposément rhétorique de Raphaëlle. Que voulait elle laisser entendre? La réponse qui vint en premier lieu à l'esprit du blond fut : " un traquenard!" Mais c'était beaucoup trop évident, et la corsaire ne se permettrait pas de dévoiler un plan aussi gros à sa victime? À moins que ça ne soit une partie du plan, ou un jeu aux dangereuses répercussions!

Finalement la jeune femme se leva et s'étira avant de reprendre de plus belle. Raphaëlle insinua que son intronisation en tant que Shichibukai ne relevait en aucun cas de sa force. Light arqua un sourcil en réclamant:

-Dévelope! Je t'écoute.

L'immortel corsaire stoppa alors ses étirements pour écouter son interlocutrice. Il laissa son dos prendre appuie sur le phare et croisa les bras puis il se mît à fixer du regard Raphaëlle. Light se demandait bien pour quelle raison obscure la demoiselle avait été jugé si dangereuse pour la marine. C'était une épéiste de renom, et les cinq sabres ceint à sa ceinture ne devaient pas être décoratif. Mais il y avait selon elle une raison plus profonde à l'acquisition de son titre. Cette raison c'était son expertise exceptionnel des navires. C'est du moins ce que ces sarcasme laissaient entendre! Qui a construit mon navire actuel, hein? Je ne le savais pas! Et ça n'avait aucune importance pour moi. Cependant je connaissais l'histoire de ce bâtiment maritime, sa raison originelle d'être, la réelle signification de son nom. J'étais peut être un marin du dimanche, un homme pour qui les mers avaient encore des secrets mais je savais pourquoi je voguais. J'ai un but concret, et je le réaliserais en dépit de ce que pourrons dire tout les autres! Light arqua de nouveau un sourcil. Son interlocutrice semblait être une amoureuse des bateaux, son amour était tel qu'elle en devenait insultant.

Le grand corsaire était sur le point de faire demi-tour pour ôter de sa vue l'insolente Shichibukai. C'était officiel, il ne pouvait plus la voir en peinture, et plutôt que de répondre afin d'envenimer encore plus la situation il préféra la fermer et s'en aller.

Naturellement ce fut le moment que choisit la veuve noir pour attaquer. Perfide créature! Elle qui faisait la prude, celle là même qui ne voulait pas combattre il y a de cela moins de dix minutes entama les hostilités. Après avoir craché son venin, au sens figuré, elle le fit au sens littéral.

L'immortel Shichibukai fut alors traversé par des douleurs lancinantes dans tout le corps! Tout ses muscles se contractèrent, et ses trait se déformèrent! Sur son visage on sentait une réelle douleur. Cependant aucune blessure n'était apparente. Normal c'était l'effet d'une neurotoxine!

Entre deux gémissements incontrôlés, le phénix articula:

-Un poison! Non une neurotoxine! Tu me montrés enfin tes réel armes?

Après quelque seconde d'une extrême douleur son corps revint à la normal. Sa régénération phénoménal devait plus ou moins contrer le poison. Cela devait être une arme redoutable contre à peu près n'importe qui vu comment la neurotoxine arrivait à mettre à mal Light sous sa forme humaine. Finalement le corsaire n'était pas venu pour rien. Il avait pût constatée par lui même les capacités de la Shichibukai Raphaëlle A .Teppe.

Mais la démonstration ne s'arrêta pas là. Oui je sais ça fait beaucoup pour une personne ne se disant pas encline à un combat. C'était sûrement la lâcheté et la perfidie qui devait précédemment parler.

La corsaire reprit l'assaut, mais cette fois-ci elle ne cracha pas son venin sur son ennemi, mais tout autour. Instinctivement le blond adopta sa forme complète.

Il survécut donc au poison et repoussa l'air imbibé de poison, de ses ailes flamboyantes. Cependant Raphaëlle ne sembla pas inquiété par la bourrasque qui lui arrivait dessus. En fait rien ne se passa, se fut comme si ça n'avait été qu'un doux vent. La Shichibukai fit alors un bon et une nouvelle paire de bras vint s'ajouter à la conventuelle paire de bras. Un bras lui poussa même dans le ventre. La pirate dégaina alors c'est cinq sabres et trancha l'intagible et pourtant immortel, phénix.

Light eut un sursaut. Vous vous en doutez il était toujours en vie. Il venait juste de subir une hallucination des plus déroutantes. Il semblerait que sous sa forme humaine il ai inhaler le parfum macabre produit par la veuve noir.

Intéressant, ces pouvoirs étaient tout bonnement intéressant, même si la détentrice en restait haïssable et insupportable.

Light sourit. Malgré ce qu'elle disait, elle était une force de la nature, mais elle le savait sûrement. Elle avait sûrement décider de mentir à l'immortel corsaire. Ce dernier d'ailleurs avait emmagasiner tout ce qu'il voulait savoir. Il ne voyait donc plus de raison de perdre son temps en déversant un flot de paroles hypocrite à l'adresse de Raphaëlle.

-Bon moi j'y vais avant que mon bateau ne soit réduit en cendres!

Pour le coup il n'était aucunement question du plan de sa comparse Shichibukai, de ce point de vue il n'avait rien anticipé. En réalité il avait peur de l'etat dans lequel serait son navire si une bagarre général entre ses membres d'équipage avaient éclaté suites aux tension entre Sarah et Hamaya.

Levant simplement sa main pour signaler son départ, il fit alors un bond, puis se transforma totalement en phénix avant de s'envoler loin de cette garce au poison.
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