— Encore des sales pirates !
FT. Nero Seeing

Il était neuf heure du soir.
Cela faisait environ trois heures que je me trouvais sur l’immense royaume désertique d’Alabasta. Ma présence n’avait rien de professionnel. Au contraire, j’étais ici pour avancer dans mes recherches archéologiques. En effet, d’après un informateur, ce pays cacherait deux immenses stèles qui détiendraient sans doute des informations capitales sur le siècle oublié. C’était donc dans l’objectif de trouver l’une de ces deux stèles, voire même les deux que je foulais le sable du royaume. Si je le souhaitais, je pouvais user de mon « soru » pour gagner du temps et rejoindre ma destination qui était l’oasis de Yuba. Évidemment, je ne voulais pas recourir à cette technique, non pas parce qu’elle me fatiguerait rapidement, mais plutôt parce que je voulais savourer ce moment de marche qui me rappelait tant de souvenirs.

En effet. L’absence soudaine de la chaleur et du soleil me rappelait terriblement mon île natale. Comme si ce n’était pas suffisant pour jouer avec mes souvenirs, un être supérieur qui ne pouvait être autre que « Dieu » décida de faire apparaître une pleine lune somptueuse éclairant la quasi-totalité du territoire. Puis s’en suivait un léger vent glacial qui me frappa par derrière avant de s’en aller prenant avec lui des grains de sable comme s’il souhaitait m’indiquer le chemin. Je ne pouvais qu’être nostalgique devant autant de signes.

Je continuai mon chemin malgré l’air tristounet qui se dessina sur mon visage … Pour éviter de prendre froid, je portai ma veste d’amiral et je me dirigeai vers ce qui semblait être une petite ville. Un petit café bien chaud me ferait le plus grand bien avant de poursuivre cette mission de recherche. C’était alors que des voix non lointaines attirèrent mon attention. La curiosité s’empara de moi et m’obligea à me rendre vers ces voix. Arrivé sur place … J’aperçus ce qui semblait être des pirates en train de torturer un pauvre jeune homme. Il était entre la vie et la mort à en juger par le sabre qui le traversait.

« Soru »

Je ne perdis pas une seule seconde de plus. Usant de mon soru, je me retrouvai derrière le jeune homme. il était très mal en point et malheureusement je n’étais pas un bon médecin. Je profitais du fait que la bande de pirates me reconnurent et semblaient figés par ma présence pour retirer le sabre du corps de ce jeune homme. Il perdait beaucoup de sang … Je devais faire quelque chose et ce rapidement. Je déchirai ma veste de luxe pour en faire trois longues bandes de tissu. Je les enroulai bien autour de la victime pour ensuite bien attaché les trois bandes entre elles afin d’éviter qu’il ne perde plus de sang. Il semblait perdre connaissance … Je le frappai légèrement pour le garder conscient. Les pirates profitèrent de ce moment d'inattention pour passer à l’action. Ils sautèrent, en effet, tous sur moi et tentèrent de porter des coups avec leurs armes ridicules. L’un d’eux parvint à me transpercer avec son sabre au niveau de l’épaule, tandis qu’un autre me tira sur la jambe.

Normalement ces genres de tentatives, je pouvais les esquiver avec une grande aisance. Malheureusement, aujourd'hui c’était diffèrent. En effet, en esquivant les coups, c’était le blessé qui allait subir les dégâts et je n’étais pas assez inhumain pour laisser ces malfrats ôté sa vie. Deux ondes de chocs se formèrent rapidement sous mes pieds et donnèrent lieu à un tremblement de terre terrifiant. Les pirates se retrouvèrent rapidement déstabilisés pour ne pas dire effrayés. Profitant de cet avantage, je me tournai pour faire face à ces barbares.

Je n’étais pas en colère, ce n’était pas mon genre. Oui, malgré ce qui se passait, je me contrôlais pour ne pas laisser la colère me dominer. Par contre, j’étais consterné par le manque d’humanisme que ces hommes firent preuve. J’imprégnai mon poing de pouvoir et de mon fluide pour ensuite frapper l’air balayant ainsi tous ces malfrats d’un seul revers. L’onde de choc n’était pas violent mais menaçait, cependant, la victime entre la vie et la mort. Malgré la balle qui se trouva dans ma jambe, je sursautai à l’aide de mon fluide au bout des pieds pour prendre la victime et le porter ainsi sur mon épaule gauche, celle qui n’avait pas subi de dégât. Je ramassai par la même occasion le sabre par lequel le jeune homme fut blessé et je me dirigeai malgré le poids sur mon épaule vers les pirates.

« Tu dois vivre. Tu m’entends ! Tu dois vivre ! Mourir par les mains des créatures aussi lâches serait la pire des morts qu’un homme pourrait connaître. Alors si tu m’entends, je t’ordonne de vivre. » Lançai-je tout en me dirigeant lentement vers les malfrats.

« Vous … les pirates de cette génération … vous n’avez donc aucune humanité ? Vous mettre à plusieurs sur un homme sans défense … prendre un malin plaisir à voir une âme quitter son corps … Si une échelle existait pour classer les hommes, sachez que vous vous trouverez au pied de cette échelle. L’humanité n’a que faire des vulgaires crapules de votre espèce et c’est pour cette raison que je vais vous infliger la peine capitale ! » Achevai-je en ôtant la vie des malfrats les uns après les autres par l’arme qu’ils tentèrent de tuer le jeune homme.

— Encore des sales pirates !
FT. Nero Seeing

« Rien que le fait de penser que tu les as mené à la mort te place au-dessus d’eux. » Répliquai-je aux murmures du jeune homme. « Tu as un bon coeur, car malgré les circonstances, tu éprouves de la culpabilité envers tes bourreaux. Sache que tu n’es en rien responsable de ce qui arrive. Tu es seulement celui qui s’est trouvé au mauvais endroit et au mauvais moment. » Poursuivis-je tout en continuant d’ôter la vie des malfrats.

« Je ne sais pas toi mais moi je ne pense pas que les choses arrivent par hasard. Si tu parviens à survivre, peut-être que parviendras-tu à tirer une leçon de ces évènements … » Achevai-je avant d’être alerté par ce qui semblerait être une détonation de fusil.

Je n’avais pas le temps de me retourner et d’utiliser mon pouvoir pour contrer les tires. Je ne pouvais pas me permettre que le jeune homme se fasse touché par l’une de ces balles, car si cela arrivait, ça en serait fini de lui. Ne voyant pas vraiment de solution qui me permettrait de bouger, je recouvrais la totalité de mon corps de mon fluide combatif. Ainsi les balles virent se heurter contre mon dos avant de s’écrouler comme des mouches sous mes pieds. Je n’aurais jamais cru que des vulgaires pirates parviendraient à m’obliger à recourir à mon fluide. Les aurais-je sous-estimer ? Nous ne tarderons pas à le découvrir. En effet, je me retournais lentement pour faire face à l’individu qui me tira dessus. Ils étaient deux, l’un tenait un fusil dans sa main, c’était celui qui fut balayé en premier par mon onde de choc. Quant au second, il semblait être le cerveau du groupe même si je percevais plus de muscle qu’autre chose.

Il parvenait à sourire malgré l’anéantissement de ses hommes. Cela ne m’étonnait pas vraiment. Après tout ce n’était qu’un vulgaire pirate ! Ils étaient tous les mêmes. Vous en tuez un, dix autres apparaîtrons … Des véritables cafards quoi ! Alors que j’étais en train de réfléchir au moyen que j’allais employé pour les tuer définitivement, le capitaine pirate s’avança légèrement et pointa trois cadavres se trouvant près lui de son doigt. Il espérait sans doute que je suive le mouvement de son index, malheureusement pour lui, mes yeux ne le quittaient pas une seule seconde. Contre toute attente, il reprit mes paroles sur l’humanité pour me discrédité. Comme si ce n’était pas suffisant, il se permit de critiqué la vision de la justice de la marine, le qualifiant d’obsèlete. Et le comble c’était lorsqu’il acheva en disant qu’eux, les pirates allaient nous montrer ce qu’était la véritable justice.

Aussitôt qu’il termina son dialogue, il adopta une posture de combat et s’apprêta à passer à l'action. Un air de plus impassible se dessina sur mon visage changeant complètement la couleur de mes yeux d’un rouge sombre à un rouge écarlate. Mon sang bouillonnaient de l’intérieur provocant des douleurs au niveau des tempes et ma petite voix intérieure fit son apparition en me demandant d’en finir une bonne fois pour toute. Vous l’aurez compris, c’était la colère qui était en train de s’emparer de moi. Généralement, il en fallait beaucoup plus, mais cette fois-ci les choses étaient différentes : en effet, il y avait beaucoup d’ingrédients réunis pour permettre ce changement.



« Je suis désolé, jeune homme. Tu devrais attendre encore un peu pour les soins. Je ne serai pas longtemps, c’est promis. » Lançai-je déposant le jeune homme avec douceur sur le sable glacial du royaume désertique.

« Bon, à nous maintenant. » Poursuivis-je en m’adressant aux deux pirates. « Par qui vais-je commencer ? .. » Enchaînai-je avant d’être interrompu par une tentative du capitaine.

Le combat était désormais lancé. Il se jeta sur moi comme un loup enragé en me donnant plusieurs coups de poings imprégné de haki. Malheureusement, j’ignorai qu’il avait cette faculté. Cette ignorance me coûta très cher. En effet, je pris ses offensives de plein fouet au niveau du front, de la mâchoire et du torse. Une erreur indigne d'un amiral ...

Pendant toute ma carrière au sein du gouvernement, jamais je ne commis une erreur aussi grotesque que celle-là. Jamais, je ne connus un tel revers par un pirate. Je me relevai aussitôt que je me cognai contre le rocher sur lequel l’impact de ses coups m’envoyèrent. Le sang coulait le long de mon visage et une douleur intense s’installa au niveau de ma mâchoire. Une trentaine de mètres devaient désormais me séparer des pirates. J’aperçus de loin, le second pirate qui se trouvait au niveau du jeune homme entre la vie et la mort. Il semblait décider de finir ce qu’ils commencèrent. Quant à son capitaine, il était fou de joie. Il n’en revenait pas encore d’avoir réussi à frappé un amiral. Il pensait que la victoire était désormais possible …

Il ne m’aurait fallu que d’un soru pour m’interposer entre le second pirate et le jeune homme. Il ne sentait pas à me voir de sitôt et cela allait lui coûter très cher. En effet. J'imprégnai mon doigt de mon pouvoir et d’une pichenette je l’envoyai valser contre son capitaine. Ce dernier sachant qu’il ne pourrait esquiver le coup, il frappa son second de sa main imprégné de son fluide. Astucieux ! Cruel, mais astucieux. Je me lançai aussitôt sur lui mes deux poings imprégné de mon fluide. Nous échangeâmes quelques cinquantaines de coups avant de marqué une petite pause. Qui était-il ? Un pirate qui pouvait facilement rivaliser contre moi il n’y en avait pas de tas. Alors que je réfléchissais, il décida de mettre fin à la pause en se lançant sur moi avec une technique de plus étrange. Je ne savais pas ce qu’il préparait mais cela ne présageait rien de bon pour nous.

Déterminé à vraiment mettre fin à ce jeu ridicule, j’attendis qu’il soit le plus près de moi possible avant d’attraper l’air ambiant de mes deux mains et basculer ce dernier d’un mouvement circulaire faisant ainsi perdre l’équilibre au pirate. Une bonne partie de l’île se vit basculer pendant quelques secondes … Quoi qu’il en fût, ça n’en était fini du pirate. En effet, je profitai du fait qu’il perdit son équilibre grâce à ma technique pour tenir sa tête entre mes deux mains avant de broyer cette dernière de mon pouvoir.



« La mort de tes hommes est une nécessité pour la justice. Vous avez commis une injustice dès lors où vous vous êtes pris  à ce jeune homme sans défense, et moi je suis ici pour faire en sorte que la justice soit toujours établie. Tu ne peux donc parler d’humanité lorsque cela t’arrange. Si tu le souhaites, dans l’autre monde, tu pourras me coller un procès, je ne t'en tiendrais pas rigueur. »  Lançai-je au capitaine désormais entre la vie et la mort.

« Navré, c'était plus long que je le pensais. Allons-y la ville n'est pas très loin » Lançai-je au jeune homme qui se trouvait de nouveau sur mon épaule.

Deux semaines plus tard !

— Nero Seeing

Les brigands furent tous neutralisés.
N’ayant désormais plus rien à faire dans ce coin, je pris le jeune homme sur mes épaules et je me dirigeai vers la ville la plus proche afin de le soigner rapidement. Pour l’instant, je parvins à stopper l’hémorragie, mais il devait consulter un médecin ou du moins une personne ayant des connaissances en médecine. Après tout, ses blessures étaient très sérieuses et demandaient un soin d’urgence. D’ailleurs, si c’était une autre personne qui se trouvait à sa place, il aurait déjà pu mourir. Mais lui, il était toujours en vie, il se battait contre la mort. Il le devait, car je sentais en lui quelque chose de particulier. En effet, il avait une aura assez impressionnante, comme s’il était destiné à faire de grandes choses et devenir sans aucun doute une personne influente. En plus de cela, ma petite voix intérieure ne cessait de tenter de m’expliquer quelque chose à propos de cet homme en me fustigeant de sentiment et d’image pour le moins inhabituel. Quoi qu’il en soit, j’étais persuadé que notre rencontre n’était pas dû au hasard. Les poneglyphes devraient donc attendre encore un peu.

Malheureusement, alors que je marchais tranquillement dans la direction de ce qui semblerait être un village, je fus freiné par quelque chose qui s’agrippa à ma jambe. Évidemment, sans perdre une seule seconde, je tournai légèrement ma tête pour tenter d'identifier cette chose. La première chose qui me vint à l’esprit c’était une bestiole du désert. Mais à ma plus grande surprise, j’aperçus qu’il s’agissait d’un homme. Pas n'importe lequel ! Il s’agissait d’un brigand faisant partie du groupuscule que je neutralisai. Celui-ci avait trouvé la force de ramper et de me suivre pendant plus d’une centaine de mètres. J’étais stupéfait devant cet événement. Croyez-moi, généralement il en fallait beaucoup plus pour pouvoir m’impressionner. Je me demandais comment est-ce qu’un homme comme lui, un homme pitoyable et lâche n’ayant même pas honte de ses actions criminels pouvaient-ils faire preuve d’autant de courage. Pourquoi s’accrochait-il autant à la vie, alors qu’il n’y avait pas si longtemps, il prenait un malin plaisir à ôter celles des autres. Je ne pouvais me permettre de venir en aide à un homme de son genre. Mais pourtant ma petite voix intérieure m’interdit de partir, elle voulait que je sois attentif à ce qui pourrait bien être ses dernières paroles.  

« Aidez-moi ! Aidez-moi s’il vous plaît. » Lança -t-il d’un air totalement désespéré. « Je vous en prie, ne me laissez pas mourir. » Poursuivit-il tenant toujours aussi fermement ma jambe.

Et bien, je ne m’attendais pas du tout à ces genres de paroles. Mais ce n’était pas tant surprenant, surtout venant de la bouche d’un malfrat. Je voulus l’achever avant de poursuivre mon chemin, mais ma petite voix intérieure m’en dissuada. Il était le seul à avoir survécu et il fit tout ce chemin en combattant la mort pour demander de l’aide sachant très bien qu’il pouvait succomber à tout moment. D’après ma petite voix intérieure, il y avait suffisamment de faits pour que cet homme soit épargné. Comme quoi ce n’était pas son destin de mourir aujourd'hui et que je devais donc lui donner une seconde chance. Une chance de se rattraper, d’expier ses péchés. N’allant jamais contre ma petite voix intérieure, je décidai de l’épargner en le prenant sur mon dos pour l’amener à la prochaine ville avec le jeune homme. Cependant, je l’avertis au sujet de son sort pour ne pas lui donner de faux espoirs.

« Si tu parviens à survivre jusqu’à la prochaine ville, tu recevras des soins ainsi que l’homme que tu as tenté d’éliminer. » Lançai-je calmement, avançant un pas après l’autre.

« Cependant, s’il parvint à survivre de ses blessures, il sera celui qui décidera de ton sort. » Poursuivis-je d’un ton très clair, avant de poursuivre vers le village désormais visible à l’horizon.

Deux semaines plus tard.
Je parvins à mettre le jeune homme entre de bonnes mains dans un petit village près de Yuba. Lui et le brigand étaient tous les deux hors de danger, néanmoins ses blessures étant plus graves que celles du malfrat, il avait donc besoin de beaucoup de repos. Je le confiai donc à cette famille et je profitai du temps libre que je disposai pour retourner au navire et me changer. Je fis du brigand un prisonnier hautement surveillé par mes hommes de main. Lorsque sa victime prendra conscience, je les confronterai pour décider de son sort. Pour l’instant, ayant bien récupéré de mes légères blessures, je décidai de retourner auprès du jeune homme. Il devait certainement avoir repris connaissance, je me devais donc de retirer ce fardeau à cette modeste famille et le placer sous la responsabilité du gouvernement.

Quelques heures plus tard.
J’arrivais à destination accompagné de quelques soldats. A ma plus grande surprise, j’aperçus la maison de la famille qui s’occupait du jeune homme partiellement détruite. Ce n’était qu’une petite partie mais c’était suffisant pour m’intriguer. Je frappai donc à la porte attendant patiemment que quelqu’un vienne m’ouvrir. En attendant mes hommes sécurisèrent le périmètre. La présence de ces soldats inquiétaient un peu la population locale. C’était comme si nous n’étions pas la bienvenue dans leur village. Je trouvais ce comportement plutôt étrange. Je me demandai ce que le gouvernement avait bien pu faire pour se faire détester dans ce coin ? M’enfin bref, ce n’était pas la priorité. La porte s’ouvrit et le chef de la famille fut comme soulagé. Il me fit comprendre que le jeune homme était désormais tiré d’affaire et qu’il était très en forme, au point d’avoir un saccagé leur maison. Néanmoins, il s’était de nouveau endormi, et il ne voulait pas le garder une nuit de plus. Je fis rentrer deux soldats ayant pour ordre de prendre le jeune homme et le sortir de la maison. Quant à moi, je m’excusais auprès de la famille pour tous les soucis que le jeune homme avait bien pu leurs causés.

« Je vous comprends parfaitement. Rassurez-vous, il ne restera pas une seconde de plus dans votre demeure. Je suis venu le chercher pour le placer sous la responsabilité du gouvernement. » Lançai-je tentant tant bien que mal de rassurer le chef de la famille.

« Je vous en suis éternellement reconnaissant d’avoir sauvé la vie de cet homme. Tous les dégâts qui ont été causés seront dédommagés. J’enverrai également plusieurs navires avec des vivres et de l’argent pour vous récompenser de votre hospitalité. » Poursuivis-je d’un air rassurant. 