J'avais quitté Byakuya il y avait déjà un mois. Qui aurait pu prédire que je l'aurais revue après temps de temps. Quel était les chance de toute manière? Mais bon, je l'avais belle et bien revu et il m'avait sauvez la vie, une nouvelle fois. Quand j'y pensais, un sourire s'affichait sur mon visage, depuis que je l'avais connut, je l'avais toujours considéré comme le grand frère que je n'avais jamais eut. Mais trêve de souvenir. Aujourd'hui j'entrais dans une nouvelle aventure, rien de bien exceptionnel à bien y penser. Suite à ma blessure du au sabre que mon ennemi m'avait planter dans le poumon, je devais continuer à reprendre des force. Je devais également continuer à vivre, ce qui veux dire me nourrir et dormir, la belle vie quoi. Malheureusement, tout n'est pas toujours si simple, pour dormir, ça allait, j'avais souvent dormi sous un arbre ou terré dans un trou quand j'étais jeune. Le véritable problème était de manger, vous le devinez sans doute déjà, bien que presque entièrement guérie, ma blessure m'empêchais en grande partie de chasser pour me nourrir. S'il n'y a pas que ça, depuis le dernier mois, j'étais en remise en question sur ma vie, avoir vue mes dernier amis mourir soit mes yeux, c'était encore bien pire que mille blessure a cicatriser. Donc, pour me nourrir, il je devais travailler!

Oui! Moi, Nero Seeing, alias la Corneille Cendré j'avais du me trouver un vrai travail. Aussi étonnant que cela puisse paraître, j'aimais bien mon travaille. Grâce à ce dernier, je voyageais autant que quand j'étais pirate dans l'équipage peu connu du Prime. Pourquoi je voyage me demandez vous, cela est bien simple, j'étais messager. On me donne donc une lettre, un colis ou simplement un message sonore que je dois transmettre à une personne. Je vends donc mes service de messager comme un mercenaire le fait pour combattre. Le plus intéressant avec ce métier que j'ai totalement inventé seulement pour pouvoir vivre est qu'il me permet de rencontrer les grand de se monde.

Aujourd'hui j'étais particulièrement heureux d'avoir décidé de m'autoproclamé messager. Un peu plutôt, un étrange vieillard m'avait transmit une lettre à emmener de toute urgence au Yonkou, le capitaine Marco Zapata. Vous y croyez, j'allais revoir tonton Marco d'ici quelque temps. J'avoue que mes souvenirs du temps passé avec lui son un peu flou, je n'avait que 4 ans à l'époque, mais je me souviendrai toujours de sa prestance la première fois que je l'ai vu, il était un géant pour moi, en même temps, même un enfant de 10 ans était une géant pour moi.

-_-_-_-Flashback-_-_-_-

Nous venions d'accosté sur une île qui n'était habité que par la forêt et les animaux qui y vivait. Le capitaine du Prisme c'était procuré une carte au trésor quelque semaine plus tôt, et nous touchions enfin au but. Personnellement je m'en foutais royalement, je n'avait que 4 ans après tout, je ne pensais qu'à m'amuser tout le temps et cela, seulement quand je n'étais pas occuper à faire un caprice quel qu'il soit. La journée était encore jeune quand nous avions mit pied à terre, mais déjà, la chaleur était totalement insupportable.

-Ah les caprice de Grandline. Lâcha dans un murmure mon oncle, l'homme-poison forgerons du Prisme.

Il avait tout de même raison, une journée plus tôt, il neigeait à gros flocon un peu plus loin sur l'océan. Mais comme dit tout à l'heure, je ne pensait qu'à une chose, m'amuser! Le Capitaine et mon oncle avait pourtant été si claire avec moi, rester sur la plage avec le reste de l'équipage. Très bien, défi accepter. Il ne fallu pas 10 minutes pour que je m'éclipse au yeux de l'équipage normalement supposer me surveillé. Voyez vous, j'avais une très bonne raison de vouloir m'éloigner de la plage, une merveille m'était apparu, c'étais si majestueux, si beau, si indescriptible, c'était... un papion tout se qu'il y a de plus banal. Je suivis donc se papion 1 heure avant de le perdre de vue et découvrir que moi même j'étais totalement perdu. Je n'eus pourtant pas la réaction d'un enfant ordinaire, il faut dire que j'avais toujours vécu avec des pirates, mon courage était donc à l'épreuve du pire des monstre marin, ou pas. J'entendis une brindille craquer sous les pas de quelque chose, de quelqu'un peut-être. J'arrêta donc de bouger, tremblant de peur, je me remémora le conseille de l'un des membre de l'équipage, face au danger, fait le mort. Je sortis alors mes talent d'acteur, mit une main sur mon cœur, me raidis et me laissa tomber sur le dos en faisant une magnifique planche.