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La médecine comme passe temps. [feat - Alexander Price]

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MessageSujet: La médecine comme passe temps. [feat - Alexander Price] La médecine comme passe temps. [feat - Alexander Price] EmptyLun 1 Fév - 5:02



La médecine comme passe temps. [feat - Alexander Price] Marina10

La médeocine comme passe temps.


— Alexander Price


10 ans plus tôt ...
Je n’étais, à cette époque, qu’un simple agent du gouvernement. Contrairement à la plupart de mes collègues, je ne disposais pas d’un rôle fixe ; bien au contraire, je travaillais non seulement pour le compte des vieux croulants, mais également pour les services de renseignement. Cette polyvalence était justifiée, selon mes supérieurs, par le fait que je disposerais des aptitudes hors du commun et d’une intelligence au-dessus de la moyenne. Cela restait évidemment à prouver, car si c’était réellement vrai, je pense que j’occuperai un rôle on ne peut plus valorisante que celle d’un chien qui jongle entre plusieurs maîtres.

Enfin bref, assassinats, espionnages, sabotages étaient au rendez-vous et faisaient partie, hélas, de mes tâches quotidiennes. Je n’approuvais, en effet, aucune de ces tâches misérables qu’on m’attribuait, mais pour parvenir à ma véritable objectif, je n’avais guère le choix. C’était donc un sacrifice nécessaire ; un mal nécessaire pour qu’un jour puisse découler, sans arrêt, le bien qui apportera et fera subsister la justice absolu en ce bas. Évidemment, ce jour-là, je serai, comme ma voix « intérieure » me le fit savoir, le médiateur de cette justice absolu pour ne pas dire divine. Et peut-être même, si le ciel m’en donnait l’accord, je me proposerai comme médiateur de la vie et de la mort. Pour le moment, nous n’en étions malheureusement pas à là ; il y avait encore beaucoup de choses que j’ignorai et que je devais à tout prix apprendre. Je ne disposais également pas de la force nécessaire ; de cette force qui me permettra à moi seul de faire régner cette justice absolu. Les années à venir seront donc mouvementés, aussi bien dans le domaine de la connaissance que celle du combat. D’autres aspects nécessitaient également un travail approfondi pour atteindre cette ultime objective, mais pour le moment ils n’étaient pas prioritaires.
 

En parlant de priorité, actuellement je me trouvais sur la base de MarinaBay, une petite base du gouvernement située au tréfonds du nouveau monde. Cette base artificiellement créée entre des rochers et la mer servait d’une base « secrète » d’expérimentation du gouvernement et disposait également d’une petite académie ou quelques « élus » avaient l’honneur de pouvoir étudier la médecine. Ma présence en cette base était évidemment dans l’objectif de m’instruire et d’apprendre la médecine, l’un de plus nobles métiers qui puisse exister en ce bas monde. Évidemment, mes supérieurs me donnèrent l’accord et cela eut été approuver par Marie Joa, qui pour des raisons que j’ignorais, acceptait la plupart de mes propositions, certes elles ne sont pas fréquentes, mais toute de même... Selon les rumeurs qui arpentaient les coulisses d’Enies Lobby et Silent Island, les vieux croulants auraient l’objectif de faire de moi une arme qui saura satisfaire leurs avidités.

Secouant légèrement la tête, je pus chasser toutes ces pensées qui me submergeaient, et ainsi quitter ma chambre pour respirer l’air frais de la cour de Marina. N’étant pas particulièrement fanatique du vacarme et de la foule, je décidais de me diriger vers sud, là où se trouvait les montagnes. Un endroit très paisible et peu fréquenté qui allait me permettre, une fois au sommet, de disposer d’une vue imprenable sur la mer et de pouvoir méditer en toute tranquillité. Contre toute attente, lorsque je parvins au pied de la montagne, j’aperçus un inconnu qui semblait avoir le même objectif que moi, du moins c’était ce que je pensai sur le coup. Cet inconnu ne m’était pas si inconnu que cela car il était en réalité dans ma « classe » et suivait également des cours de médecine. Comme la plupart des étudiants, j’ignorais son nom et je ne savais pas comment réagir, car malheureusement il semblait avoir senti ma présence. Devais-faire faire demi-tour ? Ou plutôt rester et tenter d’apprendre au contact d’un humain « normal » ? En effet, contrairement à moi, cet homme était un humain ordinaire, ou du moins un officier de la marine, ce qui ne le rendait pas moins ordinaire.


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Alexander Price
Pirate Fameux
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Alexander Price
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MessageSujet: Re: La médecine comme passe temps. [feat - Alexander Price] La médecine comme passe temps. [feat - Alexander Price] EmptyMar 2 Fév - 11:22



La médecine comme passe temps. [feat - Alexander Price] Marina10

Une dure journée


— Lenka D. Schwarz


Dix années auparavant,

Je dois dire que ça fait maintenant un bout de temps que j’étudie la médecine et pourtant il y a encore des choses qui arrivent à me surprendre. Mais je suppose que tout cela est normal. Après tout, je ne suis pas réellement médecin, juste un étudiant qui a bientôt terminé son long et périlleux cursus. Mais bon, contrairement à d’autres j’ai au moins eu la chance de pouvoir apprendre avec de prestigieuses personnes.

J’entends déjà les longs murmures pleins de jalousie prétextant que les plus grands médecins militaires sont ceux officiant à Mariejoa mais il n’en est rien. J’ai eu l’occasion de faire mes premières armes là-bas lors de mes premières années. Et avec le recul, il faut avouer que j’ai bien plus appris – d’un point de vue pratique j’entends – les années qui suivirent à soigner les blessés en mer qu’en restant sagement sur la terre ferme.

Bien que civil, j’étais soumis aux mêmes règles que tous les autres et mon service sur « La mouette plumée » navire militaire de patrouille me permettait de me confronter à la réalité du terrain. Au final, beaucoup de ce que j’ai tendance à appeler de la « bobologie », des petits soins à réaliser sans complexité ou des blessures sans gravité. Mais par moment il y avait bien pire, bien plus grave, enfin de l’action auraient dit certains.

Alors oui, je vois venir les choses de loin. « La mouette plumée » était un nom de navire comme un autre et doit son nom à son départ en mer qui à en croire la légende aurait vu tomber sur le pont un de ces volatiles marin dépourvu de tout plumage. Ma foi, peu importe, l’essentiel n’est pas là.

Pour en revenir aux moments les plus intenses de mon service maritime, je crois que l’attaque de notre navire par des pirates fut quelque chose de marquant. Ce n’était pas la première fois que je voyais les hommes s’afférer au combat et le sang se répandre sur le pont du navire, mais pourtant jamais avec une telle sauvagerie. La faute à ces utilisateurs de fruits du démon. C’était souvent lorsqu’ils étaient présents que j’avais d’avantage de travail par la suite.

Je passerai outre le combat qui n’a nul intérêt pour un médecin mais la suite était ce qu’il y avait de plus important à mes yeux. Soigner les blessés était un quotidien que je maitrisais plus ou moins. En revanche devoir assister le médecin de bord à soigner le capitaine pour ses nombreuses blessures était bien plus important. C’était une première pour moi.

Mais bon, en général quand on pense que tout va bien c’est que cela ne va pas le rester bien longtemps. Et comme pour me donner raison, nous avons eu le plus grand mal à soigner notre capitaine. Ce dernier avait en effet eu l’idée saugrenue d’être un utilisateur de fruit du démon. Un de ces modèles animalier qui lui permettait de se transformer en un chien. Je vous laisse imaginer la lutte lorsque pas vraiment maitre de lui-même, dans une demi conscience due à l’anesthésie, son pouvoir s’est partiellement réveillé. Difficile à maitriser cette bête qui tentait de griffer et mordre ceux qui voulaient l’aider.

Je sais, nous aurions pu lui passer des menottes en granit marin. Je sais. Mais elles étaient déjà aux poignets du capitaine pirate. Autant dire que les choses me convenaient parfaitement. Je préférais garder ce statu quo plutôt que d’offrir une once de liberté à un type en mesure de lâcher ses pouvoirs étranges sur nous.

Afin de se ravitailler, de soigner les blessés et de leur laisser le temps de se reposer, nous avions fait escale sur une petite base proche de notre zone de navigation, MarinaBay et qui servait également de lieux de villégiature lorsque nous, simples étudiants en médecine avions nos divers cours. Bref, c’était certes un nom pas très recherché pour la « Marine » mais bon, ce n’est pas pire qu’un nom de code à la con où que le nom de « La mouette plumée » de mon navire.

Fatigué, épuisé plutôt, il fallait que je prenne du temps pour moi, pour reposer mon esprit, me ressourcer un minimum. J’étais tellement épuisé par toute cette agitation, ce tumulte incessant que je n’avais même pas pris le temps de me changer, arborant ma blouse blanche rougie par moult éclats de sang ici et là.

Assis sur le rebord de la falaise, les pieds ballotant dans le vide, j’admirais le coucher de soleil naissant au loin d’un regard plus ou moins vide. Des bruits de pas derrière moi me sortirent de ma torpeur et un bref cœur d’œil en arrière me suffit pour être rassuré. Ce n’était pas un ours venu me dévorer ou une toute autre bestiole dangereuse. Ce n’était que Biaktolle ou un truc comme ça, en tout cas un type de ma promotion.

- Salut Bakara. Assieds-toi. Ou continue de te balader hein, je t'oblige à rien. Mais reste pas derrière mon dos, ça me stress. J’ai eu assez d’émotions fortes pour aujourd’hui.


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