L'appel de la Force [Solo]

Commandant de Flotte

L'appel de la force !

Solo

Le navire flottait tranquillement sur les flots, guidé par la pleine lune brillante dans un ciel vide de nuages. Moi, je me trouvais à la proue du Buveur d'Innocence, le regard perdu dans l'horizon, nous nous approchions du Pays des Fleurs. En cette nuit calme, je sifflotais, perdu également dans mes pensées. A la barre se trouvait Maïa, concentrée dans sa tâche mais égarant souvent son regard sur mon cul, et je n'avais nul besoin d'utiliser le Haki de l'Observation pour le savoir. C'est alors qu'au loin se dessinait les contours d'une île, éclairée dans cette nuit claire.

- Bien, nous sommes arrivés apparemment. dis-je, faisant dos au reste du navire et aux quelques rares membres d'équipage à s'affairer en cette heure tardive. Les autres sont-ils réveillées Maïa ?

- Nan Ren, ils dorment tous ces flemmards. me répondit-elle, ses yeux rivés sur mon dos ou plus bas peut-être. On pourrait peut-être en profiter pour s'amuser un peu, non ?

- J'préfère partir découvrir le Royaume des Fleurs, on est pas venu jusqu'ici pour rien. finis-je par dire en me retournant vers la belle navigatrice qui commençait déjà à prendre des positions subjectives. Et vaut mieux que je perdes pas de temps si je veux pas me faire violer par toi..

Quittant mon poste d'observation, je passa à côté de la belle cornue qui laissa glisser sa main sur mon corps lorsque je passais à côté d'elle. Elle semblait déçue que je ne lui porte pas plus d'attention, mais je m'en foutais à vrai dire, j'avais bien mieux à faire. Les récents évènements m'avaient prouvés que je n'étais toujours pas assez puissant pour faire face à ce monde. J'avais toujours besoin de force, toujours plus. Et mes informateurs m'avaient indiqués ce lieu où je pourrais trouver l'un des derniers maîtres de ce style de combat destructeur qui, mêlé à mon fruit du démon, deviendrai l'outil de mon règne.

Une guerre avait eut lieue, sur Kong Island, confrontant un Yonkou et moi-même face aux soldats du Gouvernement Mondial, ainsi qu'un Amiral et un Vice-Amiral, un combat qui avait été un véritable carnage, les pertes s'élevants à des centaines voir des milliers de victimes. Un déchaînement total de ma puissance face à l'Amiral considéré comme étant le plus dangereux d'entre tous et, pourtant, j'avais tout de même réussis à lui faire face, ce qui avait eut de sinistres répercutions sur l'environnement de l'île.

J'entrais alors dans les quartiers du Buveur d'Innocence, poussant cette lourde porte blindée, j'arpentais les couloirs du navire afin de me diriger vers ma cabine. Evidemment, étant le capitaine de ce navire, mes quartiers étaient plus spacieux et luxueux. Poussant la belle porte aux nombreuses gravures sculptées, j'entrais alors dans mon lieu de résidence. Une vaste pièce où un grand bureau trônait dans le fond, dans un coin un grand lit aux allures particulièrement agréables, des instruments de musique accrochés au mur à ma gauche et des armes sur celui de droite. Des bibliothèques remplissaient certains endroits, remplis de livres historiques, philosophiques et musicaux. Derrière le bureau d'acacia lazuré de noir, une magnifique armure d'or était placée sur un mannequin, composée d'un plastron se finissant par une jupe de lamelles de cuir et d'or.

Pendant de longues minutes je m'employa à la revêtir, m'équipant également de ma lourde épée noire que j'attacha dans mon dos et de l'épée au manche d'or et à la lame plus courte trônant désormais à ma ceinture. Un sourire sur le visage, je remonta sur le pont et avança à nouveau en direction de la proue. En passant à côté de Maïa, je l'embrassa sur la joue, m'amusant en la voyant rougir. Et enfin, le navire s'étant rapproché de l'île désormais bien visible, je monta sur le bastingage avant de me retourner pour faire face aux quelques spectateurs.

- Bien, mes amis, je pars devant. dis-je tout sourire, heureux de repartir à l'aventure. Je ne sais pas quand je reviendrai, mais je vous tiendrai informé par den-den mushi. Vous pouvez vous servir dans les coffres pour vous saouler comme vous le souhaitez, tant que vous gardez le navire ça me va ! Sur ces belles paroles, camarades, on se revoit plus tard.

Je pris alors un ferme appui sur le bastingage, faisant grincer celui-ci avant d'utiliser les facultés de mon fruit du démon.

Air Run !

Mes jambes me propulsèrent alors dans les airs. Mon aventure commençait enfin sur cette île et cela débutait par une course aérienne.

© Fiche par Ethylen sur Libre Graph'

Commandant de Flotte

L'appel de la force !

Solo

Je filais à travers le vent, allant à une telle allure que de petites ondes se développaient sous chacun de mes pas. Ces ondes repoussaient l'air sous moi, me permettant ainsi de me maintenir dans les airs et de courir à la vitesse du son. J'étais monté à une centaine de mètres, surplombant rapidement l'île imposante. Bien que la lune me permettait une vue imprenable sur le pays des fleurs, je ne pouvais pas en voir le bout. Je n'avais aucune information sur l'île en elle-même, que ce soit sa taille comme la population qui pouvait la peupler. C'était ça l'aventure aussi, ce voyage serait une sorte de quête initiatique avant de trouver ce maître que je cherchais.

En contrebas, la vision que j'eus me permit de comprendre le nom donné à ce pays. Des champs remplis de belles fleurs de couleurs différentes mais harmonieuses. Par où devrais-je commencer ? Ne connaissant pas les lieux, je me laissa aller à ma curiosité, observant une cascade qui brillait sous le reflet de la lune argentée. Un petit lac s'était composé en son pied. Stoppant alors subitement ma course, je me mis à tomber frénétiquement et inlassablement vers l'endroit ciblé. Par intermitences, je frappais à nouveau l'air sous moi pour ralentir ma chute. Et ce, jusqu'à attérir les pieds dans l'eau. Commencer mon périple de nuit n'aurait pas été intéressant et, comme un prédateur, je n'avais pas ramené de nourriture avec moi, seulement de quoi chasser. Ainsi, je m'installa près du petit lac, posant des pièges et observant tout signe de la faune locale.

- Venez mes petits, j'vais juste vous bouffer pas de quoi s'inquiéter. murmurais-je dans la nuit, tentant de capter les "voix" de tout être vivant traînant dans le coin.

Un petit sac en toile était accroché dans mon dos, contenant des coûteaux, de la ficelle, de l'or et plusieurs bourses remplies de balles de fusil ainsi qu'une longue cape pouvant recouvrir l'intégralité de mon corps, munie d'un capuchon pour recouvrir le visage. En effet, les reflets dorés de mon armure et mes cheveux rouges attiraient facilement l'attention que ce soit des humains comme des animaux. Je m'en vêtis et me remis en chasse.

J'avais déployé mon Haki de l'Observation, m'en servant comme un radard en tentant de le maintenir dans une zone définie autour de moi. Je n'y était ni familier, ni expérimenté, mais j'apprenais vite et ça s'avérait très souvent pratique. Ainsi, en quelques secondes, je repéra plusieurs formes de vie, plus ou moins grosses. Puis, utilisant ma vitesse, je les attrapais, qu'ils soient en vol ou à terre sur une zone de cinquante mètres de diamètre. Je me retrouva ainsi avec des souris, quelques petits oiseaux et deux lapins comme repas du soir avant de dormir et partir à l'aventure.

Je fis rapidement du feu et pus cuire mes proies, j'avais besoin de force pour la journée qui m'attendait le lendemain et rien de mieux que de la viande pour faire le plein d'énergie. J'en savoura chaque bouchée et finis chaque petite parcelle de viande dans son intégralité avant de lâcher un rôt et de boire un coup. M'adossant à un arbre, le capuchon et la cape me recouvrant toujours, je finis par m'assoupir, me laissant aller dans les bras de Morphée.

© Fiche par Ethylen sur Libre Graph'

Commandant de Flotte

L'appel de la force !

Solo

Le soleil s'était levé, réchauffant l'atmosphère et me faisait légèrement grogner dans mon sommeil. Allongé à même le sol, ma tête posée contre mon sac en toile. J'étais simplement vêtu d'une tunique simple, d'un rouge sang magnifique, quelques brodures ici et là pour la rendre plus résistante tout en montrant une certaine richesse. J'avais retiré mon armure pour dormir, ceci étant plus confortable. Les rayons du soleil traversaient mes paupière d'une lueur rouge, m'obligeant à me rouler sur le côté en ouvrant les yeux. Je baillais comme un taré, m'étirant dans tout les sens en prolongeant ce baillement excessif. Enfin, j'avais très bien dormis, c'était parfait pour se lancer à l'aventure ay Royaume des Fleurs.

Cependant, alors que je me réveillais paisiblement avec une lenteur indigne de l'un des hommes les plus rapides au monde, un grognement attira mon attention. Cela me réveilla sur l'instant, tout mes sens en éveil, je balaya la clairière de mon regard, à l'affut du moindre son ou mouvement. C'est alors que je remarqua une autre présence à l'aide de mon Haki de l'Observation. Mon regard repéra l'animal, un peu plus loin dans la forêt. Je me relevais pour m'approcher, voyant les buissons bouger et des grognements me parvenant. Je m'arrêtais alors, stoppant tout mouvement en apercevant l'animal, m'étant décalé légèrement de côté. Il semblait être en train de dévorer les restes des lapins que j'avais dévoré la veille. L'odeur de mon feu l'avait sûrement attiré, et maintenant il était là, il s'était même peut-être intéressé à moi, mais alors pourquoi ne m'avait-il pas attaqué ?

Les yeux du félins se relevèrent alors pour me fixer, sans me lâcher une seconde nous sommes ainsi restés des secondes qui me parurent être une éternité. C'était un animal magnifique, plus grand qu'un tigre, d'énormes canines redescendant de sa mâchoire supérieure. Ses pattes devaient faire la taille de ma tête, facilement et ses griffes étaient plus longues que mes doigts. Une bête dans toute sa splendeur, sauvage et dangereuse. L'avant de son corps plaqué au sol, le smilodon finit sa dernière bouchée, la moitié d'un lapin, les os craquants sous les crocs immenses de la bête. Au vu de la position qu'il prenait, il se préparait à me bondir dessus.

Et c'est là que je remarqua quelque chose d'impressionant, de longues cicatrices le balafraient à de nombreux endroits. Et ce n'étaient pas des marques faites par une autre créature, non, elles avaient était faites par une lame. Cet animal avait été attaqué par des hommes, peut-être même qu'il avait été capturé et obligé à les servir. Ce regard, cette expression faciale, cela me rappelait le visage que je faisais face à Bogard lorsque j'étais esclave. Je le comprenais, je comprenais sa réaction et son agressivité envers le genre humain. Cependant, il n'attaquait pas, il commençait même à reculer, se pourléchant les babines. Il baissa alors la tête et fit volte-face, s'éloignant rapidement de la clairière.

Le laissant ainsi s'enfuir, je n'avais aucune intention de le pourchasser. Je me retournais alors pour me munir de mes épées et de mon armure, remarquant alors qu'elles n'étaient plus à l'endroit où je les avais laissées. Bordel, mais qu'est-ce qui s'était passé ici ? A mieux y regarder, il y avait bien là des traces de pas, marquant profondément la terre par endroits.

- Bordel de merde ! jurais-je alors, particulièrement énervé. Mon armure, mes épées ! Qui sont les enfoirés qui ont osés me les voler ? Bordel ... je vais les retrouver et les éventrer ces connards.

La colère, cette amie si fidèle à mon coeur, avait commencée à faire son oeuvre, me laissant ainsi hurler seul au milieu de la plaine. Evidemment, ma lourde bourse de Berrys avait également disparue, ça aurait été trop beau. En plus j'avais rien à manger, j'avais laissé un dernier lapin pour le petit dej' mais le tigre à dents de sabre me l'avait prit. Pour un début d'aventure, c'était assez pitoyable, il fallait absolument que je retrouve les voleurs qui m'avaient dérobés mes affaires. Si seulement ils avaient sus à qui ils s'en étaient pris, ils auraient réfléchis à deux fois avant d'agir, désormais leur destin était scellé : j'allai les exterminer, quel que soit leur nombre.

Encore une fois, j'ignorais pourquoi ils ne m'avaient pas attaqués, c'était assez étrange à vrai dire. Attrapant mon sac de toile, je pénétra dans la forêt, cherchant une proie à chasser ou un chemin à suivre. Ce fut le premier choix que je croisa pour commencer. De gros oiseaux bien ronds, bien gras qui piaillaient en haut des arbres. En utilisant mon Haki de l'Observation, je pouvais en compter cinq, assez gros pour me nourrir pour toute la journée et me laisser un petit reste pour le lendemain. Je fléchis alors les jambes, celles-ci recouvertes de Haki, propulsant mon corps vers la cime des arbres. En me servant des pouvoirs de mon fruit, j'augmenta ainsi ma vitesse, sautant d'arbres en arbres en attrapant mes proies. Une fois arrivé en haut du plus grand arbre, j'en avais attrapé quatre et le dernier s'était envolé. Un petit caillou dans ma main, je le lança avec force sur le volatile, augmentant la vitesse de la petite pierre qui transperça de part en part l'animal qui retomba dans mes mains. Parfait, place à la bouffe maintenant.

Ayant trouvé un petit ruisseau, j'y nettoya la viande que j'avais récupéré des oiseaux, buvant à grandes goulées l'eau fraîche. Je fis à nouveau un feu, rôtissant deux de mes proies, gardant les autres morceaux de viande enroulés dans des feuilles dans mon sac. Je pus ainsi manger à ma faim, reprenant des forces rapidement, ce qui était parfait pour retrouver les voleurs. Au nombre d'empreintes, ils devaient être sept, mais rien ne me disait qu'ils ne faisaient pas partis d'une bande plus importante qui pouvait très bien m'observer en ce moment même. Enfin, si je pouvais l'affirmer, à moins qu'ils ne soient des ninjas vraiment discrets, je ne percevais rien avec mon Kenbunshoku. Pour l'instant, j'étais tranquille, mais le Chien allait se mettre en chasse et dévorer ses proies sans aucune pitié. J'avais certes changé, évolué vers un stade plus sage de ma vie, mais me voler était inacceptable et j'aimais toujours autant massacrer mes adversaires, et j'allai le prouver.

Commandant de Flotte

L'appel de la force !

Solo

Pendant plusieurs heures, je m'étais élancé dans cette épaisse forêt, parsemée de grandes prairies fleuries. J'avais utilisé les compétence octroyées par le fruit du démon que j'avais ingéré pour augmenter ma vitesse. Filant entre les arbres, manquant toutes les deux minutes de me bouffer un tronc en pleine face. Mon Haki de l'Observation était encore trop faible pour s'étendre sur une longue distance et ma vitesse m'empêchait de correctement me concentrer, le rendant totalement inutile. Et pourtant, je n'arrivais pas à retrouver les voleurs qui m'avaient dérobés mes affaires, et c'était très embêtant. J'avais parcourus des centaines de kilomètres, en long et en large, repérant certains endroits à visiter plus tard, s'ils se cachaient, ça devait être dans l'un de ces endroits.

M'élançant à nouveau, je me dirigeais vers une grotte que je n'avais pas eus le temps d'explorer. Posté devant celle-ci, j'observais plus attentivement la scène, repérant par endroits des traces de sang et des vêtements en morceaux. Intrigué, j'avançais plus en avant dans la grotte, tout mes sens et cette fois-ci mon Kenbunshoku en éveil. La pénombre m'entoura au bout de quelques minutes, les galeries s'enchaînaient les unes après les autres, transformant ce qui m'avait semblé n'être qu'une caverne en un véritable labyrinthe souterrain. Je tâtonnais les parois pour m'y retrouver, me demandant si dans l'autre sens je parviendrai à retrouver la sortie. L'odeur de sang se faisait plus persistante à mesure que j'avançais à l'aveuglette. Qu'allai-je trouver en ce lieu ?

C'est alors qu'un grognement attira mon attention, concentrant mon Haki Perceptif dans cette direction afin de savoir ce qui se terrait là dans l'obscurité. Enfin, à un nouveau tournant, je fus témoin d'une scène magnifique à mes yeux. Le plafond rocheux était percé d'un grand trou remontant jusqu'à la surface, laissant la lumière pénétrer dans la pièce naturelle. Au beau milieu de cette salle rocheuse, le sang avait maculé la roche, des os jonchant le sol. Une créature habitait apparemment là, avait-elle dévoré les voleurs que je cherchais ? Cela pourrait expliquer pourquoi je ne les avais toujours pas retrouvés. Cependant, il n'y avait toujours aucune trace de mes armes et mon armure. Mais, autre chose attira mon attention, là dans un coin de la pièce. Deux yeux jaunes, une pupille fendue en leur centre, me fixaient intensément, brillant dans l'obscurité.

Les grognements du félin commencèrent alors à gronder en m'apercevant. Il ne restait certes plus grand chose de ses proies, mais il semblait pourtant défendre quelque chose. Peut-être lui-même. Je m'étais stoppé, suivant ces yeux félins qui se mouvaient à présent dans le noir. L'animal s'avança alors dans la zone éclairée, me laissant ainsi reconnaître le tigre à dents de sabre que j'avais vus précedemment. Et d'ailleurs, la bête semblait me reconnaître, m'observant fixement mais sans réelle agressivité, cela me paraissait comme étant de la simple curiosité. Le smilodon continua alors de s'avancer jusqu'au milieu de la pièce, sous le puit de lumière qui me permit d'admirer cet animal magnifique. En m'approchant, j'eus l'impression qu'il était réellement intelligent. Je me baissa légèrement vers l'avant en arrivant près du félin, me montrant sous un jour moins imposant, plus proportionnel à la taille de l'animal.

- Je ne te ferai aucun mal, ne t'en fais pas. dis-je alors de la voix la plus douce dont j'étais capable. Tu m'as l'air d'être une bête maligne, est-ce que ce sont mes voleurs que t'as bouffé ? Ils auraient pas eus avec eux des armes et une armure ?

Ouais, j'étais en train de parler avec un tigre à dents de sabre, pensant sûrement qu'il me répondrait. A la place, l'animal s'approcha un peu plus de moi en m'observant de ses grands yeux jaunes, il ouvrit légèrement sa gueule avant de la refermer et me donner un violent coup de tête se voulant affectueux contre ma hanche droite. Amusé par sa démarche, je plia les genoux et commença à gratouiller sa tête poilue, le grattant sous le menton en entendant un ronronnement important se mettant à vrombir à la manière d'un moteur. Cet animal était vraiment magnifique et, si rien ne le rattachait à ce lieu, je le prendrai sûrement avec moi, j'avais pas encore d'animal de compagnie après tout.