la nature et le volcan se rencontre [PV Johan]

Commandant Révolutionnaire

Hieroshi après sa nomination au titre de chef de la révolution avait décidé de changer quelque point surtout dans la grande zone de confort de la révolution, South Blue leur appartenant totalement. Le but serai simple, faire comprendre que le mouvement serai nettement plus actif dans les temps à venir. Il se rzndit alors sur une ile reconnu, Karaté Island. Le leader réunit ses troupes miliciennes sur la grandes place.

-Mes camares! Les jours furent sombre par le passé! Mais désormais cela va changer! L'organisation va évoluer vers une nouvelle forme d'agissement! Nous allons nous montrer au vrai jour! Mais pour cela il faudra que l'on ralie East Blue et grand line complet à notre cause! Qui est avec nous!?!

Sur ces mots Hieroshi avait enjoué plus de cinq milles partisans. Et le plus impressionnant était à venir. Hieroshi colla ses mains l'une à l'autre.

-Voici Igdrasyl l'arbre de la vie symbole des iles revolutionnaires!

Un arbre titanesque emergeait du sol a une vitesse lente a l'oeil mais tellement rapide au niveau biologique. Un arbre millénaire poussant en seulement quelques minutes ce n'est tout de même pas commun. Signe que la révolution possède des talents qui vont permettre au monde d'être radicalement modifié. Tout va pour le mieux depuis la nomination de Hieroshi mais comme toujours le karma rattrape les gens et un navire de guerre de la marine est visible a l'horizon. Dans ce sens seul Hieroshi peut le voir et pour une première action en tant que chef Hieroshi allait éviter toute perte inutile dans son camp.

-Vous tous! Allez vers Igdrasyl et faite vos absolutions avant de joindre les navire de l'autre côté de l'île vous naviguerez vers East Blue, l'évolution débute dès aujourd'hui!

Hieroshi était paré au combat, sa confiance et puissance plus a même que jamais. Première chose faite fut d'entourer ses bras de bois, de ronce et d'ortie. Et de se planter proche de la plage prêt a contrer les assauts des premiers marine a fouler une terre révolutionnaire depuis des lustres.

Chef du Pôle 5

En attente des ordres !

Les faibles doivent mourir.

Cela faisait déjà plusieurs jours que j’étais sûr l’île Karaté, grâce à mes compétences en espionnage je savais bien qu’une grosse activité révolutionnaire se préparait. J’étais sûr qu’un Chef révolutionnaire allait se montrer aux vues du grand nombre de partisans réunis et aussi aux navires déployés au port.

J’étais caché dans un logement miteux au beau milieu de nulle part sur cette île immense.
Je venais de finir de prendre une douche, je m’appuyais sur le rebord du lavabo, complétement à poil, une serviette blanche sèche sur les épaules.

Comment je savais pour le rassemblement et l’apparition potentielle d’un chef ? Grâce au meilleur service de renseignement, le Cipher Pol, cela fait plusieurs mois qu’ils observaient les agissements révolutionnaires et aujourd’hui ils avaient détecté justement une opportunité intéressante, l’assassinat d’un chef.

Je finis par m’habiller tranquillement, l’abri dans lequel je vivais ne faisait pas plus de 20m², ce logement de passage m’allait parfaitement.

Je sortis dehors, habillé décontracté, pantalon large et pareil pour le haut.

J’entendais les gens du coin parler d’un rassemblement ayant lieu aujourd’hui, sur la grande place de l’île dans l’heure qui suit.

En me promenant dans le sens de cette place d’ailleurs je pus voir effectivement un immense flux migratoire en direction du point de rendez-vous.

Pour cette mission je n’étais pas seul, Johan, un Vice-Amiral de la Marine supervisait la mission et j’étais du coup le seul gars sur le terrain pour lui. Même si je n’aimais pas trop servir quelqu’un d’autre à part Octav c’était dans mes « devoirs » d’agent du CP 0.

Je pris mon Den Den Mushi afin de renseigner Johan ou encore le Vice-Amiral Schwarz des mouvements rebelles.

- Pulupulu… pulupulupulu KOTCHA !!! Allô Vice-Amiral ? C’est Shini à l’appareille, il aurait un attroupement dans la région… sur la grande place de l’île. J’attends vos ordres.

J’avais l’impression à la fin de mes mots de plus être le même qu’avant, je me trouvais déjà plus… plus comment dire… calme. Auparavant je n'aurais jamais tourné mes phrases ainsi.