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Presentation Thomas Washington (en cours)

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Thomas Washington
Thomas Washington
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Date d'inscription : 01/02/2016
Presentation Thomas Washington (en cours) Vide
MessageSujet: Presentation Thomas Washington (en cours) Presentation Thomas Washington (en cours) EmptyLun 1 Fév - 19:10

Présentation


● Nom: Washington
● Prénom : Thomas
● Rang : Contre-Amiral
● Surnom : Nezumiiro (Souris Grise)
● Âge : 18 ans.
● But :
● Race : Humaine
● Fruit du démon : Nop.
● Arme(s) : Une batte fait pour le combat et donc particulièrement renforcé.
● Haki et Rokushiki ? : Oui mais je n'ai pas encore décidé le ou lesquels.
● Niveau demandé : Entre 40 et 50 comme vous le souhaitez.
● Prime: Hum... 100?
● Groupe (Pirate, Marine, etc) : Marine (divison de Dinoléo)


Plus en détail

● Physique et Mental (5 et 5 lignes minimum):


Il est chelou le nouveau, non?

Remarque d'un marine anonyme après l'intégration de Thomas au sein de le la base d’entraînement


Sujet d’expérience numéro 85 : Thomas Washington.


Jeune homme d'apparence presque enfantine. Des cheveux bruns mi-longs qui ne sont jamais coiffés, on est loin de la coiffure réglementaire. Ses longues mèches ne semblent pas gêner sa vision cependant. Le noir semble être sa couleur favorite, elle transparaît dans de nombreux vêtements tout comme ses grands yeux, probablement à cause de ces derniers d'ailleurs Il l’agrémente de petites touches de couleur tel son t-shirt rouges ou ses boutons de manchettes dorés.  Un bel homme, pas de toute là-dessus. Je l'ai rarement vu avec le traditionnel manteau de la marine.  On m'a dit qu'il ne le portais qu'à l’extérieur de la base, lorsqu'il représentait son corps d'armée. Lorsque je lui ai posé la question, il m'a simplement répondu « Trop chaud »Le blanc du vêtement de marin assemblé à ses propres tissus et accessoires donne un ensemble pourtant attrayant. Le contraste entre la pureté du vêtement et sa chevelure corbeau n'en brille que plus fort. Un certain succès avec les hommes même si elle ne semble pas rechercher la séduction du sexe opposé. Ou même celui des hommes.

Voilà maintenant près de sept ans que le patient vient régulièrement suivre des séances dans ma base. N'étant son docteur que depuis peu, je ne peux que constater l'inefficacité de mes prédécesseurs, une demi-dizaine déjà... je dois pourtant admettre que lors de ma lecture de son dossier, j'étais en accord avec les traitements proposés. J'essaierais de tenter de nouvelles choses mais je doute que ce jeune ne recouvre sa santé mentale un jour proche.

Pour être totalement franc, je suis toujours surpris qu'un tel individu fut accepté au sein de la marine. Des entretiens avec ses supérieurs et ses professeurs d'académie m'ont fait découvrir un enfant perturbée, hautement perturbée mais bien manipulé, un soldat efficace. Idée particulièrement étrange de prime abord. Peut-être est-ce en ceci qu'il peut se montrer utile au combat ? Peut-être que l'ennemi tant à l'ignorer comme on le ferait d'un garnement bruyant...

En tout cas, le jeune homme est malade. Clairement. Si il a de nombreux symptômes, on peut tous en trouver l'origine dans sa schizophrénie. L'apparition des premiers symptômes est inconnue. Il semblerait que le patiente soit entré à l'académie déjà à moitié fou. Cela a dû les changer des bêtes sanguinaires et autres parangon de justice, aucun doute là-dessus.

Physiquement, il semble en parfait état. Un corps travaillé, quasiment aucun gramme de graisse, visiblement la part de soldat dans son âme fait son boulot et l’entraîne régulièrement. J'estime qu'il a même été renforcé par son caractère psychotique. Monsieur ashington a a la « chance » de collectionner de nombreux symptômes. Le plus évident étant sa paranoïa. Combien de fois je l'ai entendu me révéler qu' « Ils » allaient nous entendre ou nous voir. Le plus étrange était que cette paranoïa même régulièrement présente n'est pas plus appuyée dans son comportement physique. Même dans ses plus grandes phases, il m'a semblé assez calme. Sa seule inquiétude était qu'il doit se cacher. Une fois ceci fait, i se contente de rester accroupi et silencieux puis ça passe.

Non, ce qui m'inquiète le plus se trouve être ses illusions schizophréniques. Monstres, ombre menaçante, chat invisible et sans corps, ... une vraie galerie de cirque du Bizarre. C'est quand il se sent entourée de ces derniers, à séparer des « autres », ces « ils » qui l'espionne qu'elle devient le plus agité. Dans ces moments-là, son seul besoin est de fuir vite et loin. Il m'est régulièrement arrivé de devoir le sédater ou le garder emprisonné pour qu'il soit confinée dans notre baraquement le temps de la séance.

Heureusement, ces épisodes sont les plus rares. Il semble s'y être fait. Plus exactement, il semble souvent voir un monde que nous, gens sains, ne percevons pas. Parfois son regard se perd et son esprit divague, je le sais. Il paraît même souvent blasé ayant totalement ce quotidien que lui seul expérimente. Lorsque de nouveau épisode arrive, je peux toujours les prévoir par ses agissements de plus en plus frénétiques : haussement de voix, énervement, volonté de se défouler ou encore crises de colère sur des petits détails. Comme son nom de code qu'il juge ridicule. Ou tout simplement les noms de code dans leur ensemble. Je pense même pouvoir le faire sortir de ses gonds en prononçant les mots ou en lançant quelques sujets. Pourquoi nos guerriers émérites ne peuvent s’empêcher de crier les noms de leurs techniques par exemple. Non, ce qui transparaît le plus souvent dans sa maladie se trouve être les voix.

Oui... Les voix. Un jour, un collègue s'est moqué d'elle en déclarant qu'il fallait à Thomas tous les symptômes de sa maladie. « Symptômes, attrapez les tous ! » a-t-il répliqué. Une référence qu'il a essayé de m'expliquer et dont je n'ai pas saisi la teneur ou l'attrait sensationnel. Un truc de souris avec des éclairs. Stupide.

Les voix donc. Le patient semble être particulièrement influençable par celles-ci. Combien lui parle-t-elle par jour? Difficile à dire, elle ne semble pas avoir de personnalité propre. Juste un amas de voix faisant pression sur son esprit, indiquant son comportement. J'estime qu'il ne s'agit là qu'un moyen de se dédouaner de son comportement et de sa maladie. Ce n'est pas de sa faute, ce sont « les voix » qui lui ont dit.

Pourtant, malgré sa maladie, malgré le peu d'espoir de rémission, de vraie rémission, le patient semble capable de fonctionner en société. Est-on plus apte à lui pardonner de par ses soucis mentaux? Est-il capable de poser, jouer un jeu qui suffit à détourner nos doutes de nos esprits? Tout ce que je sais c'est qu'avec l'aide des médicaments prescrits elle remplit les objectifs qui lui ont été fixé. Comme je disais en début d'enregistrement, bien utilisé, il peut être un soldat particulièrement utile. Mieux, il a prouvé plusieurs fois être capable de mener ses hommes en mission et réussir ces dernières. J'avoue être légèrement impressionné. Je sais qu'il est malade, je sais qu'il gardera ses séquelles toute sa vie et pourtant... sans un examen minutieux sur plusieurs jours, il aurait pu totalement me berner, intentionnellement ou non. Je crois qu'au final, les instances dirigeantes de la marine en sont particulièrement contentes. Un outil facilement dispensable si besoin. Un outil efficace jusqu'à ce qu'on le sacrifie le moment venue.


Log deux terminé.
Francisco Arkham, Médecin Psychiatre attaché à la base de Uatterpillar.


● Histoire (10 lignes minimum) :

Chapitre 1: Une maison au bord de mer.


Le nouveau né de la famille Washington a vu le jour sur East blue il y a de ça dix-huit ans. One Punch Island est une grande île, port commercial florissant et famille bourgeoise se disputant pour le contrôle de la mairie. Ce ne fut pas dans ce genre de famille que Thomas est né. Non, le futur marine n'était qu'un gamin des rues, criant pour détourner l'attention, jurant pour paraître plus menaçant et volant pour se nourrir. Il était loin d'être orphelin pourtant. Peut-être même le fait d'avoir autant de frères et sœurs, quinze au total faisait de gros trous dans les ressources de la famille. Sûrement. Bien vite, les enfants Washington apprenaient à se débrouiller par eux-mêmes. Avec une loyauté à toute épreuve, ils se soutenaient et ensemble montait des coups de plus en plus extravagants. Leurs cibles de choix? Tous les touristes et autres marchands amenés via le succès du port. Leur période préférée restait toutefois la semaine des fleurs.

Chaque mois de juillet, tout East Blue venait sur One Punch Island assister au grand concours floral qui prenait part sur toute l'île. Des labyrinthes de ronces, des sculptures de roses voire même des galeries marchandes de lilas étaient créés pour l'occasion. L'afflux d'étrangers était si important que la petite famille vivait confortablement pour plusieurs mois après l’événement. Thomas n'avait que cinq ans lorsque son plus grand frère, le meneur de la bande d'enfants fut abattu par les forces de police. Cela faisait plusieurs jours que la mairie avait grossi les rangs de ses troupes pour le vingtième anniversaire de la Semaine des fleurs.

Alors que la petite troupe courait dans les rues, profitant du carnaval pour s'échapper en rigolant, les mains remplies de bourses d'argent, la police débarquait dans leur maison. Le dernier butin récolté n'avait été qu'un piège et les forces de l'ordre avaient remonté la piste jusqu'à une maison sans grande ambition. Une simple maison avec un étage au milieu de dizaine de maisons avec seulement un étage. Pas de couleur chatoyante, pas de riches meubles, pas de jardin. Non, une bâtisse tout ce qu'il y avait de plus banale si ce n'était la cave qui donnait sur une petite grotte au bord de mer. L'entrée et la sortie parfaite pour des voleurs comme l'étaient les enfants Washington. Au début, les parents avaient refusé les activités illégales de leur progéniture mais bien vite, l'afflux de nourriture et de monnaies les avaient forcé à détourner les yeux. Quand vous avez des enfants morts en bas-âge car vous ne les avez pas assez nourri, qu'est-ce qu'une loi?

Thomas, ses sœurs, ses frères entrèrent donc chez eux insouciant, se vantant même de leur dernier coup quand un cliquetis de pistolet se fit entendre. En quelques secondes, ils furent tous entouré de policiers armés de bâton, le leader des forces de l'ordre tenant Victor en joue. L'espace d'un instant, personne ne bougea. Le silence s'imposa jusqu'à ce qu'un éclair fuse dans la fin de la grotte, aveuglant tous ses occupants. Puis vint le bruit assourdissant. La plupart des enfants se couchèrent au sol ou firent coucher de force. Entre les larmes, le futur marine vit que son frère tenter de prendre l'arme de l'inspecteur, les deux lutant et parfois tirant à nouveau vers les murs de la cavité avant que Victor ralentisse et ne tombe, doucement au sol. Le silence qui régna à ce moment fit plus mal au jeune Thomas que n'importe quelle douleur ou crampe d'estomac qu'il avait ressentie. Sans même connaître le sens du mot mort il savait. Son frère n'était plus.
Chapitre 2: Un enfant au bord des larmes.


Le réveil fut dur pour toute la famille. Celui qui était en réalité le vrai leader s'en était allé et se faisant avait laissé un trou dans la poitrine de chacun. Isabella, la mère de Thomas ne sortit pas de chambre avant une semaine et ne reprit jamais vraiment son rôle de parent. Leur père tenta tant bien que mal de joindre les deux bouts mais les doubles voire triples boulots le brisèrent physiquement . Seul l'alcool le fit tenir les premières années avant qu'il ne sombre à son tour et disparaisse du jour au lendemain. Le futur Marine l'avait retrouvé bien plus tard grâce au service d'information de l'armée. Manero, son nom avait fui l’île et les dettes de la famille pour recommencer sa vie autre part, inconnu ou presque.

Le fait est que de six à dix ans, Thomas connut la pire période de sa vie. La plus noire pour la souris grise qu'il deviendrait. Il n'en voulu cependant jamais à ses parents. Même quand lui-même déprimait le plus, ils ne les voyaient que comme ils étaient, des gens brisés et d'une certaine façon, malade. On ne juge pas les gens malades, on se contente de les aider. La pression de la police et le passage récurrent que le corps armé effectua dans la maison Washington n'aida jamais la petite famille. Techniquement, cela aidait les enfants restants à suivre le droit chemin mais le coût fut monstrueux avec une famille qui vécut une pauvreté de plus en plus grandissante malgré leurs efforts.

Celui qui n'était pas encore l’homme à la batte naquit réellement dans cette période-là. Il trouva son premier travail à sept ans en tant qu'un simple crieur au marché. S'ensuivit divers boulots où sa petite taille était appréciée tel que pour nettoyer les cheminées ou aller chasser les œufs dans les terriers dans animaux. Tous ses revenus, ils les donnaient à son père lorsqu'il était encore là. Ce dernier s'empressait de les dépenser au bar du coin et lorsqu'il eut fui, il les donna à sa mère. Il avait huit ans à ce moment et travaillait durement à la même taverne qui avait vu son père dépensé l'argent de la famille.

Thomas y travaillait de si heures du matin à vingt-deux du soir. Une petite pause pour manger et un maigre salaire récompensaient un travail éreintant, presque infernal. Rares étaient les clients à prendre en pitié le fils d'une famille de voleurs. De temps en temps on lui donnait un quignon de pain et tous les jours, les propriétaires le battaient pour toutes les raisons possibles et imaginables. Cela tenait plus de l'esclavage que de l'emploi rémunéré et pourtant, il ne se plaignit jamais. C’était toujours mieux que retourner dans la maison dans laquelle sa mère venait de déménager. Une ribambelle de messieurs y passaient régulièrement pour s'enfermer dans la chambre avec sa génitrice. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre l'origine des bruits de bêtes qui en sortait. Il préférait donc encore être maltraité loin de là-bas qu'y vivre plutôt bien. Ces dures années forgèrent son goût pour l'effort. Dans la difficulté, dans la douleur et la peine, il se fortifiait. Il s'enfermait presque dans son esprit, s'imaginait des histoires, des amis et petit à petit oubliait le triste constat qu'était sa vie.

Chapitre 3: Une adolescent au bord de la folie.


Chapitre 4: Une gradé au bord du monde.


● Quelque chose à ajouter ? : DC accordé par Niko!
Concernant le haki et le rokushiki, je vous propose qu'on en parle lors de la FT, je n'ai pas encore décidé de ce que je prendrais.
Autre petite note, pour le nom de code, j'ai vu que Nezumiiro voulait dire "gris de couleur souris" (à peu près). Du coup je me suis dit, autant le noter comme ça plutôt que Heironezumi qui me semblait moins beau à l'oreille.
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