A l'instant où il brisa le crâne du colonel en l'enfonçant dans le sol et réduisant en morceaux de bois une moitie de l'auberge, les personnes n'ayant pas été souffler partirent en courant sans demander leur reste, se disant que cette individu était un malade sans raison, et ils avaient bien raison de ce coté là. Ainsi, même si il avait bousiller le coté bar par la même occasion, il se fraya un chemin dans les décombres et attrapa une bouteille de rhum sauvage qui avait survécu dans cette savane de débris et se redressa en la débouchant. C'est alors que lorsqu'il se retourna pour sortir de ce qu'il restait de l'auberge avec le goulot en bouche, son œil rouge néon se posa sur un groupe de marine qui encerclait le bâtiment en pointant un nombre important de fusil sur lui pendant que d'autres brandissaient des sabres ou encore des canons portatif, pendant que d'autres courraient vers l'extérieur pour une raison qui lui était étrangère. Il éclata donc de rire et cracha par la même occasion son breuvage par terre, une partie en dégoulinant sur son menton. Du coup après qu'il eut fini son fou rire, il but cul sec sa bouteille pendant que les balles fusaient et ricochaient sur son corps en blessant certains de ceux qui tiraient.

Ce fut lorsqu'il eut fini de s'abreuver que c'était à son tour de s'en prendre à eux, commençant par lancer sa bouteille dans la tête d'un soldat au hasard pour l’assommer avant de se mettre à courir vers eux et de foncer dans le tas en faisant voler ceux qui étaient devant lui, se retrouvant au beau milieu de la rue, stoppant sa course en freinant avec ses pieds. Refaisant face au groupe de marine, il se figea un court instant en soupirant. A ce moment là, pendant que ses ennemis se rapprochaient rapidement de lui en courant et en hurlant qu'il fallait l'abattre, son épaule droite s'ouvrit d'un coup, puis un missile à tête chercheuse en sortit et fut propulser droit devant en tourbillonnant sur lui même avant d'aller produire une violente explosion en plein dans les rangs des marines, les dispersant à droite à gauche, sur les toit, contre les murs, à travers les fenêtres, pour terminer tous plus ou moins dans le même état, ceux qui furent le plus près de l'explosion ayant perdu quelques membres et eurent le corps carbonisés alors que ceux qui se trouvaient moins proche de l'explosion avaient le corps carbonisé et mourraient lentement. Cette action réduisit les lieux à l'état de champ de bataille, un nombre incalculable de débris un peu partout sur un bon périmètre, accompagné de plusieurs corps brûler gisant, ainsi que des flammes formant une enceinte tout autour de l'endroit ravager, sans oublier un colosse qui se tenait là, debout au centre du tableau dont il en était le créateur.

C'est alors que, lorsqu'il passa les mains derrière sa nuque et se prépara un partir, son œil fut attirer par un homme non loin de lui au milieu de tout ça. Ce qui l'intrigua ne fut pas sa taille, ni même celle de son épée, en aucune façon, il en avait vue d'autre, mais, ce qui était intéressant, c'était qu'il ne se soit pas enfui comme tous les autres, civils ou soldats, ce qui donnait à ce gars un quelque chose qu'affectionnait beaucoup Jango, étant l'attirance pour ce genre de scène, il n'y avait pas de doute, il dégageait une aura quasiment similaire à celle du cyborg. Ce fut donc pourquoi il se retourna afin de se diriger vers lui, s'arrêtant à quelque mètre, la distance minime entre les deux, put faire percevoir l'être qu'il était à Jango grâce à son kenbushoku. Ainsi, il pencha légèrement la tête sur le coté droit en arborant un sourire amuser qui n'était pas visible sous le voile déchirer qui recouvrait les 3/4 de son visage hormis son œil valide.

- Oy ! Dis moi, qui es-tu ?

Il trouva amusant qu'il veuille savoir ce qu'il était, par ailleurs, même s'il aurait voulu connaître son identité, il ne lui aurait en aucun cas donner, pour lui les choses ne fonctionne que dans un seul sens, que pour lui, l'égoïsme étant un aspect de personnalité qu'il dévellopa également suite à son accident. C'est alors qu'au début de leur conversation, une voix très mécontente se manifesta, il s'agissait d'un marine étant à la tête du groupe qui faisait face à Susanoo. Il semblait que son interlocuteur ait lui aussi causer quelques embêtement aux force de l'ordre, ce qui intéressa beaucoup le pirate. Etant donner qu'il n'en avait pas après lui mais plutôt envers l'épéiste, il ne bougea pas le petit doigt lorsqu'il se jeta sur lui, curieux de voir comment il allait se débrouiller face à un combattant du niveau d'un vice-amiral selon les dires des pecnos restés à l'arrière pour se pisser dessus en toute tranquilliter et protéger leur fesse derrière leur supérieur en le couvrant d'éloges.

C'est ainsi qu'il tourna le dos à Susanoo en s'éloignant avant d'aller s'assoir sur l'un de ses cadavres un peu plus loin, croisant les bras, prêt à admirer le spectacle, attendant de voir s'il allait être deçu par cette homme. Ainsi il en profita pour identifier plus en détail ce type, c'est alors que son oeil se mit à s'illuminer d'un rouge vif plus important que d'habitude avant qu'un rayon rouge ne s'étende jusqu'à Susanoo, passant sur lui de haut en bas avant de disparaître, les informations se chargeant dans son système d'enregistrement à l'intérieur de la partie cybernétique de son cerveau.

"Not found", c'est ce qu'il vit afficher sur son écran virtuel, il ne possedait donc aucune information sur cette personne, il n'était donc pas quelqu'un de connu à l'heure actuelle. Sur le moment, il fut un peu déçu par cette conclusion, pensant donc qu'il n'avait en faite rien d'intéressant, mais il se résoud quand même à observer la scène qui allait suivre, se disant qu'il ne faut jamais se fier à la première impression.

Comme dit le dicton, "il ne faut pas se fier aux apparences", ceci fait bien évidemment allusion à Susanoo, qui, après avoir nonchalamment tourner le dos au colonel, sans doute en le sous-estimant, se retrouva à valser comme un oiseau volant en pleine tempête, avant d'aller s'écraser contre un mur tel un œuf tombant au fond du poêle tout en faisant écrouler la moitie à l'impact, enfoui sous les décombres. Une chose pareil étonna le cyborg, en effet, étant donner l'aura que dégageait cette homme, il n'aurait jamais penser qu'il puisse se prendre une voler pareil avec un simple coup sur la tête. Quoi que, lorsque l'on tourne le dos à son ennemie, il faut s'attendre à tout, y compris à prendre cher, surtout que c'est susceptible de vexer l'adversaire qui plus est, ce qui fut le cas du colonel apparemment. Car oui, à peine le mec au corbeau tenta de se remettre sur pied tout en se frottant le haut du crâne pour recouvrer ses esprits, le justicier apparu au dessus de lui avec un bâton en main et vint s'écraser sur sa cible avec force, le mettant dans les vapes en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.

Ah eh bien au moins il ne perd pas de temps celui-la, ils ne doivent pas trop faire les guignoles dans ses troupes, un mot de travers et hop un coup de bâton en plein dans la bouche, sa doit calmer, surtout quand on est pas fait de boulon.
Je pense qu'il est inutile de vous cacher la déception de Jango lorsqu'il vit une tel scène. Il semblait s'être un temps soit peu intéresser à ce tas de muscles et aurait aimer l'affronter, car, il aurait ans doute put être celui qui lui aurait offert le combat de sa vie. D'ailleurs en repensant à cette possibilité, il soupira de regret. C'est alors surpris et déçu qu'il se releva du tas de cadavre sur lequel il était assis afin de partir à la recherche d'un autre endroit où tout bousiller.

- Hey toi ! Ne bouge plus ! Tu es en état d'arrestation ! Alors soit tu te rend sans faire d'histoire, soit tu termine comme ton acolyte !

C'est alors qu'il commença à s'éloigner de quelques mètres qu'une voix retentit dans son dos en s'adressant à lui de façon autoritaire et menaçante. Il se stoppa donc un instant sans se retourner ni faire quoi que ce soit avant de se retourner pour faire face à cette individu qui regretterait bientôt d'avoir un jour oser sortir des jupons de sa mère, car aujourd'hui, il se retrouvait nez à nez avec le messager du chaos.

Ainsi, afin de faire comprendre à cette énergumène qu'il ne comptait pas se rendre, il le fixa droit dans les yeux avec son unique œil visible et luisant d'un rouge sang vif avant de commencer à s'avancer vers lui. Quel ne fut pas sa surprise lorsqu'à son premier pas à peine, il se sentit partir en arrière d'un seul coup avant d'être repousser, mais comme son corps était particulièrement lourd, il ne décolla pas du sol, mais ses pieds glissèrent sur le bois qui composait le sol en créant deux grosses traîner profondes dans celui-ci avant que le cyborg ne s'arrêtent de reculer une dizaine de mètres en arrière en venant poser un genou à terre après avoir été déséquilibrer par ce qui venait de se passer. En effet, le bâton du colonel s'était retrouver en un rien de temps sur le torse du cyborg et l'avait envoyer 10 mètres plus loin. Non seulement il était rapide, mais en plus il avait de la force pour sa corpulence banale, car, pour repousser une machine aussi lourde que Jango sur 10 mètres il en fallait dans les bras.

- Alors on faiblit le tas de boulons ? Tu ne croyais quand même pas que j'allais te laisser massacrer mes hommes sans rien faire et perturber l'ordre dans cette ville non ?

Pendant qu'il prononçait ces mots, le blondinet s'avançait petit à petit vers la machine. Mais ce fut en voyant le corps de celui commencer à grossir et gagner en volume qu'il jugea sage de s'arrêter pour observer ce qu'il se passait. Car oui, le corps du cyborg se métamorphosait à vue d’œil, sa corpulence devenait de plus en plus imposante, de longs poils noirs poussaient partout sur lui, sa tête gagnait en volume alors que le bas de son visage ressemblait de plus en plus à celui d'un animal à chaque seconde qui passait. Les endroits où il avait encore de la peau, passaient de la couleur carboniser à une couleur noir cuivré, sans compter cette longue queue qui se manifesta derrière lui. Les yeux du colonel s’écarquillèrent lorsque devant lui se tenait désormais debout, un monstre, ni plus ni moins, un mélange entre une machine, un cadavre et un gorille, tout ça dépassant les 7 mètres de haut et lâchant un hurlement qui fit fuir la totalité des troupes du colonel et qui lui, le laissa septique alors que des gouttes de stresse et d'hésitation coulaient sur son visage.

GROHAAAAAA !!!

Comme si ce ne fut pas assez pour le blond de la marine, derrière lui, il s'était avérer que Susanoo se soit réveiller et se tenait debout, les yeux remplient de haines, apparemment décider à régler son compte à celui-ci qu'il lui avait mit une rouste toute à l'heure, le seul problème était que Jango n'aimait pas partager. C'est ainsi, après un long moment où Susanoo s'étaient fixer, ils levèrent chacun l'un de leur poing alors que le colonel se trouvait au milieu sans possibilité de s'enfuir. Et c'est ainsi que les poings respectif de l'homme au corbeau et celui du messager du chaos vinrent s'entrechoquer.
A cet instant, le colonel fut d'abord souffler par la puissance dévastatrice de l'impact se retrouvant propulser dans les aires jusqu'à ce que l'on ne puisse plus l'apercevoir. Puis sous la pression monstre qu’exerçaient les deux hommes, l'aire se retrouva d'abord fissurer à cause du pouvoir de Susanoo, puis des étincelles firent leur apparition autour d'eux. Plus ils forçaient tout les deux, plus Jango reculait centimètre par centimètre à cause du gura gura no mi, ainsi il mit en marche ses propulseurs qui étaient plus puissant sous sa forme hybride pour arrêter de reculer et libéra en continue des ondes de choc via son poing contre celui de Susanoo pour égaliser la pression et revenir dans le challenge, la confrontation libérant de nouveau une immense pression d'aire autour des deux rivaux balayant certaines habitations un peu trop proche d'eux. Dans un dernier élan de force, chacun des deux libéra une dernière onde, Susanoo de son fruit du démon et Jango de son générateur d'onde de choc.
Une tel chose entraîna une violente explosion de puissance qui souffla tout dans un rayon de 100m et qui créa un cratère particulièrement profond dans le sol et large d'un diamètre d'environ 10m alors que les deux rivaux s'envolaient chacun d'un coté au fin fond de l'île sans doute tout les deux assommer par ce choc de titan. Ce qui était sûr, c'est que Jango n'avait finalement jamais rencontrer un adversaire aussi puissant que celui-ci, en effet, car il n'en rencontrera pas d'autres, lui n'étant pas tomber sur la terre ferme, mais bien au large de l'île dans l'océan, s’enfonçant petit à petit dans les abîmes de la mort au fur à et mesure que la lumière de son unique œil s'amenuisait pour enfin s'éteindre complètement.
Une chose était certaine, il était mort soulager et surtout heureux, étrange pour le genre de gars qu'il était, mais cela s'explique simplement. Il avait eu l'affrontement de sa vie face à un adversaire digne de ce nom, qui était au final, sans doute plus fort que lui. Enfin, il avait obtenu le combat de sa vie.