Nom : ///
Prénom : ///
Surnom : Manji
Rang : Shogun no Wa
Age : 26 longues années
But : Imposer son art dans le monde, combattre les plus puissants sous les cieux et libérer le Tengu scellé dans son arme.  
Race:  Humain
Fruit du démon : Aucun
Armes: Tengu no Ken
Haki : Busoshoku Haki: Expert
Kenbunshoku Haki : Moyen
Niveau : 15
Groupe : Civil

Nombreux sont les individus revendiquant la faculté de lire dans l'esprit des gens comme dans un livre ouvert, prétextant qu'un simple regard suffirait largement à découvrir ce qu'il pense en lui ... Pourtant, rare sont les personnes qui y arrivent réellement... Alors qu'en est-il vraiment pour Manji ? A-t-on déjà réussit à lire en lui ? Il fût peut-être un temps où son jeune âge permettait aux personnes de le comprendre aisément, mais il s'avère que de nos jours sa psyché est beaucoup plus complexe que ce qu’elle peut paraître à l'heure actuelle ...

Avant d'entamer et de vous expliquer en détail à quoi peut bien penser cet homme , il faut être renseigner sur une chose en particulier. Cette chose-là s'appelle le Bushido, mais qu'est-ce donc que ce fameux Bushido ? Pour faire simple le Bushido est un ensemble de principes moraux qui définit bien souvent un Samurai, cependant dans notre monde actuel, ces préceptes ont disparu car jugé trop archaïques. Pourtant, notre protagoniste a bel et bien décidé de suivre les dogmes du Bushido, jugeant qu'il était honorable de suivre pareille voie, la voie du guerrier. Voici donc les différents préceptes que se doit de suivre le Samurai ayant dédié sa vie à ce code ancestral.


Bien entendu notre gaillard possède aussi des traits de caractères bien à lui, pas seulement ceux dicté par sa foi. Certaine peuvent même être en parfaite contradiction suivant le contexte du moment présent. Ce bonhomme mystérieux est plutôt spécial et est un cas particulier, on assimile souvent son caractère à une personne antisociale, presque sadique ou encore plein d'autre adjectif pouvant ponctuer cette présentation. Alors oui il est vrai que lors de certain combat on peut apercevoir une forme de sadisme émanant de son regard, l’impression que combattre est dans sa nature, est une satisfaction totale.

Pourtant, le cicatrisé n'est pas juste ce que pense la plupart des personnes. Il a un caractère qui bien souvent fait fuir les personnes ordinaire. Mais pourquoi ces personnes fuiraient-elles un individu comme lui ? On peut déjà fortement émettre un doute sur son accoutrement plus ou moins atypique, n’aidant pas vraiment, ayant justement un effet inspirant la crainte à sa vue. Un autre des points caractéristiques du borgne est sa recherche du savoir. Le samurai est une personne cherchant beaucoup à se cultiver, que cela soit avec des livres ou sur le terrain, c'est pour lui un plaisir de chercher à se rendre plus intelligent. C’est grâce à son savoir qu’il débloqua une aptitude fort utile, il est un bon ingénieur doué d’une bonne pâte pour l’artisanat d’objet en tout genre, cela lui permet d’utiliser cette connaissance pour la création de son arsenal. Ses habits et ses armes sont bel et bien de sa confection.

Avec ces paragraphes sur ses motivations dans la vie beaucoup de personnes verrait en lui un personnage plutôt bon, sans mauvaise intention, cependant il recèle en lui certain mauvais côté. Une partie de ce mauvais côté apparaît lors des combats, le guerrier est le genre de personne à prendre un grand plaisir à combattre et tester la force des gens, si bien qu'il est capable de faire durer un combat même si celui-là se retrouve être excessivement dangereux pour lui et d'être dans ce genre de cas particulièrement joueur. Dans ces cas là, il décidera si oui ou non la personne en face de lui mériteras son respect ou bien alors un profond dégoûts.

Pour lui une personne est respectable seulement grâce à la force mais pas forcément celle des poings, il y a tant de critère à prendre en compte, comme tout simplement la force des convictions.. Vous aurez donc compris, Manji est une personne très cultivée et très juste dans ce qu'il entreprend généralement, il est vrai que cet homme est brute et ne discute souvent que par la force des gens, pour lui un faible ne doit avoir comme objectif qu'une seule chose : « devenir fort » et malgré son envie instinctive de combat et de puissance il n'en reste pas moins un homme attentionné et aimant ses compères.


Penchons-nous maintenant sur la physionomie de Manji. Nombreuses sont les personnes possédant l'aptitude de juger l'apparence d'après leur dire, d'après un style de vêtement, votre coiffure ou même tout simplement votre visage. Vous êtes constamment surveillé et inspecté par bon nombre de gens dans ce monde et cela à chaque instant, mais est-ce pour autant une mauvaise chose ? Pas réellement tant qu'elle n'aboutit pas à une sorte de préjugé sur ladite personne. Alors qu'elle est la première chose que l'on se dit lors du premier regard vers notre protagoniste ? Qu'elle est la première réflexion sur ce gaillard qu'est Manjii ? On pourrait tout résumer avec quelques termes : Nonchalant, Primitif, Traditionnel voir Atypique.

Commençons avant tout, par son aspect physiologique et ses particularités propres. Le grand gaillard est doté d'une taille conséquente en comparaison à l'être humain basique, atteignant plus précisément le mètre quatre-vingt-dix-huit. Mais bien qu'il soit grand il n'en demeure pas pour autant un personnage svelte et gracieux, sa corpulence est elle aussi notable, bien qu'elle ne se perçoit  pas sous les différents Yukata ou Kimono qu'il porte à longueur de journée. Son ossature et sa musculature sont assez remarquables, résultat d'entraînements draconiens comparable à celui d'un gladiateur adulte durant sa jeunesse. Est-ce pour ainsi qu'il n'est qu'une vulgaire masse de muscle ? Non, certes il possède un corps imposant caché bien au chaud dans ses habits, mais son anatomie lui permet d'avoir une souplesse sans égale. Lui octroyant bien souvent d'effectuer les figures acrobatiques les plus improbables. Le sabreur est bien armé de muscle mais n'en reste pas moins pour autant flexible tel un félin.

Que dire maintenant de son faciès, outre ses cheveux d'une couleur obscur rappelant celle de son âme, elle se trouve être souvent coiffé en bataille, il semblerait donc que notre protagoniste ne connaisse point les peignes. Pourtant on aperçoit une petite queue de cheval à l'arrière de son crâne, simple effet de style ? Personne ne pourra y répondre, mais cette petite queue lui donne une touche quelque peu « Samurai ». Son visage balafré aide à lui donner un style plus ou moins atypique, ses lèvres fines détenant une légère entaille au milieu de la lèvre inférieure. Son regard légèrement bridé qui pourtant donne une légère sensation d'instinct animale, celle-là même qui donne l'impression d'être en face d'un fauve prêt à vous bondir dessus à la moindre petite dispersion. Ses pupilles d'une couleur ébène s’accouplent parfaitement avec le coloris de ses cheveux et de ses sourcils. Mais ce qui porte l’œil est bien sur ses trois cicatrices qui jonchent le visage de notre chère Samurai. Une de ceux-là traverse son œil droit verticalement. Ses deux autres balafre viennent habiller son visage presque parallèlement, une se trouvant sur son front venant croiser la balafre qui rend notre ami borgne, l’autre passe sur le dessus des cartilages de son nez fin.

Comme dit précédemment, notre homme originaire des contrées de Wa possède un style vestimentaire très traditionnel pour nos jours, préférant porter de simple kimono, Yukata. Il met généralement un Haori, une sorte de veste qui descend jusqu'aux cheville, il arbore aussi bien souvent une écharpe légère à son cou. L'aspect de son Haori est plus original que les autres de ce type, le siens est muni de seulement deux couleurs, blanc et noir, tous deux séparé comme le Ying et le Yang. L'arrière, le dos de son Haori arbore un svastika bouddhiste, symbole de renouvellement portant le nom de Manji, oui, le surnom du borgne vient donc de ce fier symbole. Tout ce bagage pourrait sembler tellement simplet pourtant le contraire est là, son Haori est en fait garni de poches pour son arsenal voire outillage commun tels que ses sabres, chaque millimètre est pensé ingénieusement pour ce fait. Quant à ses pieds, ils sont munis de Geta, des sandales de bois fabriqué à partir d'arbres séculaires.

Une période de royaume combattant dans des guerres interminables. Un monde cruel et difficile qui a perduré depuis fort longtemps, si loin dans le temps que les hommes et femmes en oublièrent la véritable raison. En ce monde, un « Dragon » est née, un dragon connu dans un futur proche, sous le nom de Manji. Qu'allait-il emporter ? Envie, douleur, désespoir, peur ? Ou justement allait-il apporter sur ce monde toutes ces émotions ? Mais une chose est sûre, de son corps imposant s'échappait une substance qui déferlait sur la terre, du Sang accompagnant la Rage.



Il fût un temps ou le pays de Wa était une contrée très conservatrice, refusant que des étrangers foulent leur terre. De nos jours, leur mentalité n’a cependant pas beaucoup changé, malgré le passage de plusieurs pirates maintenant devenu légende.  Cependant il s’ouvrit beaucoup plus qu’avant, en acceptant certain échanges commerciaux, ouvrant des voies rarement emprunter par le peuple de Wa no kuni.  Bien que la plupart des effets fût bénéfique, il y eut certaines histoires, qui n’arrangeaient pas l’opinion publique. Parmi ces histoires, voici celle d’une femme et d’un étranger. C'était l'histoire d'une femme banale, qui vivait une vie ordinaire, peut-être même bien trop ordinaire à son goût, elle rêvait d'aventure et de découverte, elle rêvait de ce qu'il y avait au de-là de cette mers bleue qui s'étend à perte de vue, mais malheureusement une femme dans un pays de guerrier féodal n’a que très peu de « droit », espérer devenir Samurai ou navigateur était chose rare pour une femme du pays de Wa.

Un jour un aventurier qui venait justement de ce qu'il y avait loin à l'horizon débarqua sur l'île avec plein de trésors et objet en tout genre. Il fut accueilli comme n'importe quel Gaijin mais sa volonté d'écrire un livre sur notre île et les objets qu'il avait à commercer lui permit de rester quelque temps dessus. Tous les soirs, il se rendait dans le cloître d’une petite ville ou vivait justement cette femme qui nous intéresse tant.  Cet aventurier y allait raconter ses récits, c'était un homme bien mystérieux qui ne parlait jamais de lui-même, seulement des différentes îles qu'il avait fréquentés. Autant vous dire, la jeune femme passionnée d'aventure est tombé sous le charme de cet homme, mais se marier avec un Gaijin et même avoir de simple relation avec lui était interdit tacitement.  Pourtant malgré les lois en vigueur la bêtise était faite, la jeune femme eu subitement un enfant. Ce fut une très grande polémique, un Gaijin avec une femme de Wa, d'après l'histoire l'homme avait promis de l'emmener avec lui et pourtant il disparut le jour d'après en laissant la femme seule devant ce problème. Elle fût bannie du village et condamnée à errer dans les terres comme une vulgaire mendiante, sans toit ni argent. Personne ne savait où elle s'était rendue, certain parlait d’une montagne à quelque lieux d'ici, une montagne sacrée qui d’après les mythes du pays, y avait hébergé un Tengu, divinité du ciel.


Les années passèrent sans qu'aucune nouvelle de la femme bannie n’arrive aux oreilles d’une quelconque personne, était-elle morte ? Avait-elle réussit à enfanter sa progéniture ? Tant de questions qui étaient demeurées un mystère pendant un long moment. Puis un jour, vint une histoire plus ou moins farfelue. Un « homme-bête » attaquerait les caravanes marchandes qui passaient la route près de la fameuse montagne du Tengu. L'histoire, si elle s'arrêtait là, aurait pu être vraisemblable, cependant,  les témoignages de rares survivants parlaient d'un homme-bête capable de manier le sabre, il aurait aussi le don de pouvoir changer de forme. Au commencement, rare était les cas d'agressions ou d'attaques, mais au fil du temps, elles devenaient de plus en plus fréquentes, cette « chose » aurait tuée à elle seule, plus d'une vingtaine d'hommes et attaquerait même les Samurai en charge de défendre ces dites caravanes. Six de l'armée de Wa auraient perdues la vie contre lui, le chef militaire du pays, appelé Shogun, ne pouvait à force, plus ignorer pareille fable.

Faire déplacer en personne le chef militaire du pays était un cas bien rare voir même exceptionnel, celui-là ne méritait pas une telle présence. Mais le Shogun n'ignorait pas pour autant ce potentiel danger pour le peuple, pour cela, il envoya un de ses maitre Bushi, Ittosai Ito, le plus jeune des Samurai d'élite de la cours du Shogun, mais qui serait très prometteur. Agé de Vingt-cinq années de vie, il emmena avec lui une petite troupe de Samurai débutant, dans le but de traquer la bête qui sévit aux abords de la montagne. Plusieurs jours passés, aucune trace de ce fauve, impossible de mettre la main dessus, autant sur lui que sur un vulgaire indice, les seules indications qu'il laisse sont les victimes de ses attaquent de plus en plus incessantes, encore plus meurtrière. Les indices laissés lors de ceux-là, laissait penser que cette chose chassait, de la nourriture visiblement, ses agressions étaient toutes dirigés vers les marchands de passage ayant leur caravanes remplies de diverses bectances. Sous la révélation de ses indices, certes minime, mais qui permettait de lever le voile sur un mystère, Ito pouvait préparer un plan simple mais ingénieux.

Le maitre Bushi installait donc un camp de fortune dans la forêt du Mont Tengu, avec lui une dizaine de samurai et des vivres à faire craquer le ventre de Big mom en personne. Cependant, rien ne se passait, à la nuit tombée aucune trace de la bête. Ito allait partir surement bredouille de sa quête, un déshonneur pour un maitre Bushi et Samurai. Puis soudain, le guerrier ressenti une aura bestiale, sauvage, il le sentait, cela arrivait droit sur le camp, la chose qu'il traquait. Alors qu'il allait prévenir ses hommes de se positionner, une voix émanant un cri de douleur surgit de la pénombre, s'ensuivit d'un jeune samurai braillant « Maitre ! Nous avons perdu Sasaki ! Il est mort ! » Et en quelques minutes, plusieurs autre voix dans tout le camp était alors entendu «Attaque sur le flanc droit ! Ayate a été touché par une flèche ! » ; « Maitre on nous attaque depuis le flanc gauche ! ARGH » « Minamoto a rendu l'âme ! » Le camp était en véritable chaos, à croire leur dire, une troupe d'hommes armés les attaquaient, mais le Haki d'Ito lui ne le mentais pas, il y avait bien une seule personne. Il donna alors  l'ordre de se rassembler, il ne voulait pas permettre à l'adversaire de profiter des ouvertures. Bien que la nuit rendait difficilement une bonne vision, une silhouette apparu dans l'ombre, la faible lueur de la torche permettait de voir des traits humains, mais l'aura que dégageait cet homme était loin d'être humaine, elle était bestiale et aussi menaçant qu'un dragon. Sous cette impression se cachait un enfant âgé d'à peine 10 ans, au regard perçant, bondissant vers le groupe de Samurai.

Avant qu'Ito arrête la course effrénée du gamin, le jeune sauvage réussit tout de même à tuer deux autres guerriers, démontrant sa grande force. Lorsque le maitre bushi ce plaça devant lui, il ressentit une légère peur, pourtant il le savait, il était bien plus fort que ce gamin. Dans son combat contre le fauve, Ito remarquait un fait étrange, bien qu'il lui soit supérieur, le petit avait l'air d'y éprouver un sentiment de plaisir, comme-ci le combat lui apportait une béatitude extrême, pourquoi donc ? Ito lui était bien largement supérieur… Est-ce le fait d'avoir enfin trouvé un adversaire à sa valeur ? A chaque coup que le maitre Bushi parait, le gamin avait l'air d'en découvrir un autre, comme-ci le combat lui permettait de devenir plus puissant à chacun des échanges de coups. Intrigué par cette « chose » de la forêt, Ito continuait sa passe d'arme, cherchant à comprendre le jeune homme, cependant un fait lui revenait, un de ses hommes avait clairement dit avoir reçu une flèche, mais de qui ?! Son adversaire n'avait qu'un vulgaire sabre trop grand pour lui… C'est dans cette interrogation et ce moment d'inattention que son adversaire lui-même usa d'un tour plus ou moins inattendu, une partie de son arme semblait se détacher pour se transformer, en effectuant un coup net, rapide et horizontal en direction d'Ito, le morceaux de sabre qui s'était dès lors détaché se transformait en une flèche qui fonçait tout droit en direction du Samurai.

Bien que prit de surprise, il ne lui était guère difficile de parer sa flèche, mais au moment même où il effectuait sa parade le petit en profitait pour placer un second coup de sabre, prit de cours, le bushi se défendait sans réussir à retenir suffisamment son coup pour éviter une blessure mortelle à son ennemi. Blessé par deux entailles, une profonde au niveau du front et une seconde au torse, le fameux « homme-bête » s'évanouissait devant les quelque peu survivant et leur chef. Ittosai Ito se rendit compte d'un élément, ce gosse, il survivait en mangeant ce qu'il trouvait dans les caravanes marchandes, mais si il s'en prenait a autant de gens, était-ce pour se divertir ? Il était las des combats, alors il errait à la recherche d'adversaire suffisamment fort pour le convenir, voilà pourquoi il avait cherché le combat, alors qu'il aurait tout simplement pu prendre la pitance et s'enfuir. Le Bushi, bien qu'ayant reçu la mission de le pourfendre, fît le contraire, il ne pouvait se résigner à tuer pareil escrimeur prometteur. Ainsi le gamin ayant perdu conscience était amené devant le Shogun, mais ce qui surprenait réellement le chef militaire n'était point la force de ce jeunot, la véritable raison était l'arme qu'il utilisait. Cette arme était connue autrefois sous le nom de Tengu no Ken, son sabre avait un tranchant basique, cependant elle avait un pouvoir digne des plus grands sabre, elle pouvait changer de forme à volonté et pour réussir pareille tour, elle lisait les pensées de son utilisateur pour savoir quelle forme prendre… C'est pour cette raison qu'elle fût appelé Tengu no Ken, car dans la mythologie le Tengu possède le pouvoir de changer de forme et de lire l'esprit des humains. Devant autant de surprisse et d'interrogation, le Shogun accepta de sauvegarder l'enfant, a condition que le maitre bushi, Ittosai Ito, prenait en main son éducation.  


Confiné dans un lieu sombre et étouffant, le jeune sauvageon y était retenu captif suite à sa défaite, ordre donné par le Shogun lui-même. Les ordres étaient clairs, s'il refusait de se soumettre, le sujet devait être exécuté. Ittosai Ito s'en allait donc à sa rencontre, équipé d'une torche détenant un fort éclat lumineux, lui permettant d'éclairer toute la cellule où était enfermée le jeunot. Leur regard se croisait, et cela durant de longue minute… Se testant mutuellement. Ce « combat » s'arrêtait lorsque Ito poussait un long soupir « Rah j''avoue ma défaite petit ! Tu n'es vraiment pas facile à cerner avec un tel regard » L'enfant qui ne devait pas avoir plus de dix ans, avait ce regard glaçant et vide, mais en même temps.. Sauvage, donnant l'impression lorsqu'un moment d'inattention de la part d'Ito se profilera, il lui bondira dessus tel un fauve cherchant à dévorer sa proie. Malheureusement pour lui, il était enchaîné, devenant dans ce cas-là pas plus dangereux qu'un chiot.