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Ceux qu'il ne fallait pas voler

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Ren W. Aoncan
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Ren W. Aoncan
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MessageSujet: Re: Ceux qu'il ne fallait pas voler Ceux qu'il ne fallait pas voler  - Page 2 EmptyDim 17 Jan - 15:19



Ceux qu'il ne fallait pas voler


Feat : ✘ Atoum Bachara




Je continuais d'avancer, ne laissant aucune chance à tout ceux qui croisaient mon chemin. Enfin, après tout, ils m'attaquaient, il fallait bien que je me défendes. J'étais tout à fait dans mon droit, bien que j'adorais faire couler le sang. La couleur rouge qui m'était souvent associée ne faisait pas spécialement référence à mes cheveux ou mes yeux mais également à l'hémoglobine qui suivait mon passage. Les voleurs se débrouillaient assez bien, mais face à deux Commandants de Yonkous, ils n'avaient aucune chance. De plus, jusque là, je n'en avais croisé aucun qui maîtrisait ne serait-ce qu'un peu le fluide. C'était un minimum au Shin Sekai pour se faire respecter, de plus face à un logia, sans Haki Combattif ou Granit Marin ils ne pourraient rien faire. Enfin, ils pouvaient toujours essayer de tremper leurs armes dans de l'eau ou cracher sur leurs lames, cela pourrait sûrement contrer les flammes du Commandant de Marco. C'était d'ailleurs le second Commandant du Dragon Rouge que je croisais dans le Nouveau Monde. Le premier avait été Light, un ancien Corsaire que j'avais recroisé sur Woodblack, une île de Granit Marin. Bien que je nourrissais certains doutes quant aux raisons qui l'avaient poussés à rejoindre un Yonkou avec son passif de Shichibukaï, je voyais néanmoins Bachara comme un véritable Pirate. Il faut dire que je ne le connaissais pas aussi bien que le phénix, mais il ne me semblait pas spécialement dangereux.

Face à moi, une dizaine de voleurs me braquaient à l'aide de leurs fusils. Sans autre introduction, ils me tirèrent dessus sans interruption. J'utilisais le Haki Perceptif, esquivant les balles qui fusaient autour de moi par des mouvements minimalistes. Un projectile arrivait droit vers ma tête, il me suffit de la pencher légèrement sur le côté, la balle m'arracha trois cheveux mais vint s'écraser contre un mur derrière moi. Je continuais de me déplacer assez lentement dans leur direction, mes deux mains recouvertes de cette carapace noire. Les armes à feu finirent par être complètement vidées de leurs munitions, les voleurs sortant des balles pour les recharger par des gestes pressés, ils m'observaient par intermitence en rechargeant leurs fusils, paniqués à l'idée que j'arrive jusqu'à eux. Chose qui se passa finalement, alors qu'ils venaient de finir de recharger leurs fusils, j'étais déjà face à eux. Je leur laissais le temps de lever leurs armes pour les pointer droit sur ma tête à bout portant. Leurs doigts pressèrent en même temps les détentes, crachant les balles qui explosèrent au contact de ma peau. Une sorte de petit nuage entourait ma tête, cachant ce qu'il s'était passé aux yeux de mes adversaires. Je soufflais alors sur le petit nuage, celui-ci se disperssant, laissant apparaître un visage entièrement recouvert de Haki, affichant une peau entièrement noire, mes dents aussi l'étaient, ouvrant ma bouche en un sourire à demi-ouvert. Entre mes dents, on pouvait voir deux des balles que j'avais arrêté. Inspirant un grand coup, je crachais les deux projectiles sur mes adversaires. Ceux-ci, déjà tremblant de peur, se mirent à reculer alors que ma main droite se refermait sur un des fusils. Son utilisateur, s'étant reçu les balles que j'avais craché dans les yeux, lâcha l'arme en reculant, il tomba d'ailleurs en arrière en me regardant ébahit, les yeux rougis.

- Vous ne devriez pas jouer avec des jouets pour grandes personnes. dis-je alors amusé.

Faisant tourner l'arme dans mes mains, je pointais le canon sur mes adversaires qui s'enfuyaient dans le long couloir. Je n'eus à tirer que cinq balles, celle-ci filant droit devant jusqu'à grossir par cinquante fois leur taille initiale, devenant de petits boulets de canon qui vinrent écraser la petite troupe de voleurs. Leur sang gicla sur les murs, leurs membres et leurs os broyés par les boulets. Moi, je lâchais le fusil et continuais mon chemin, réglant mes rencontres dans ces couloirs aux allures de labyrinthe à coups de poings. Il devait bien y avoir des chefs pour organiser tout ces hommes, ils devaient être une bande de voleurs reconnus dans le coin, ils avaient peut-être même une prime sur leurs têtes.

Enfin, j'arrivais en bas d'un escalier en colimaçon, celui qui devait mener au butin des voleurs et sûrement à leurs chefs. C'est à ce moment là que je sentis une présence pas très loin, je me retournais et tombais nez à nez avec le troll, compagnon de Bachara au drôle de faciès. Je n'en avais jamais rencontré auparavant, sûrement une race oubliée sur une île comme beaucoup l'étaient en notre monde. Il me demanda si j'avais trouvé sa hache, je lui indiquais alors l'escalier de mon doigt.

- Elle devrait se trouver à l'étage supérieur. commençais-je. Va chercher ton capitaine et tes camarades, on va leur péter la gueule ensemble s'il en reste.





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Atoum Bachara
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MessageSujet: Re: Ceux qu'il ne fallait pas voler Ceux qu'il ne fallait pas voler  - Page 2 EmptyLun 18 Jan - 18:34


 
 Ceux qu'il ne fallait pas voler

 
Ordrix a été rapide dans sa recherche et finalement, en suivant un chemin parsemé de corps ensanglantés et inertes, il a pu retrouver notre nouvel allié. Alors que ce dernier indique à mon pirate un escalier, menant encore plus haut dans la vieille bâtisse, il n'y va cependant pas. Comme l'a préconisé Ren, il fait marche arrière pour me retrouver. Le colosse marche pourtant sans accélérer, sachant la victoire déjà acquise. Sa hache lui manque plus que tout, mais il ne se presse pas comme il aurait pu le faire étend plus jeune. Le troll marche sans s'en soucier plus que ça sur les corps des défunts voleurs . Son visage n'exprime aucun dégoût ni même d'être horripilé à l'idée de marcher sur des morts. En même temps, pour faire simple, le pirate en est complètement incapable. Il n'est pas réellement un être humain. Issu d'une civilisation antérieur au siècle oublié, les coutumes et même sa génétique font qu'il ne peut ressentir ce genre de sentiment. 
Continuant sa route, il descend l'escalier puis en retournant sur ses propres pas, retrouve rapidement l'extérieur de la taverne. Mon pirate fait le tour des lieux puis me retrouve, sans nos affaires mais n'a pas une mine dépitée. J'en conclue donc qu'il y a du positif. 

> Capitaine, app ... appeler camarade et nous partir prendre hache !

Les paroles hésitantes et si pauvres d'Ordrix me font sourire un peu. Je le regarde droit dans les yeux et lui fait un signe de tête pour lui signifier que j'ai effectivement compris ce qu'il m'a dit. Je regarde donc dans l'une de mes poches et sort un escargophones à moitié endormit. Il se réveille en sursaut et je passe un appel à mes pirates qui sont encore sur la plage. 

> Capitaine, c'est Zuko alors vous avez trouvez l'alcool et la hache ?!

> Oui c'est bon, on sait où les voleurs les ont cachés mais rejoignez nous. Dans les fourrés vous devriez trouver le sillon de notre passage. Au bout il y a une taverne, c'est la cachette de ces enfoirés !

> Très bien j'arrive avec 30 hommes ça devrait suffire !

Sans m'éterniser plus longtemps, je raccroche à mon second et me dirige me tiens un peu le flanc gauche, encore immaculé de sang et d'un trou marquant la trajectoire de la balle en kairouseki. Alors que l'alcool face à l'adrénaline du combat a perdu quasiment tout effet, je me retrouve en bien mauvaise posture. Mes douleurs de l'affrontement avec le commandant de flotte de Raza plus celle causé par le projectile qui m'a transpercé la peau, touchant mon vrai corps, se réveillent. Des bleus partout, des côtes peut-être brisées, j'ai aussi pas mal de sang qui a coulé. Je me lève difficilement, en forçant sur mes jambes avec les forces qui me restent puis me stabilise. Ordrix me propose sans mots de me porter mais je refuse cette attention de sa part, je vais rejoindre ce gars à la chevelure rougeoyante comme un homme. Il m'a déjà vaincu, je ne vais pas me montrer encore plus faible devant lui. 

Du coté de "Charmant", celui mène les pirates qu'il a choisit pour nous aider à reprendre nos tonneaux d'alcool. Le groupe marche vite, trouvant habilement et promptement nos traces. De part leur masse respective, Ordrix et le félin de Ren ont offerts de belles traces parfaitement visible et décelable. C'est ainsi qu'en un rien de temps, mes hommes arrivent à me rejoindre. Tellement rapidement que j'ai cru qu'ils avaient anticipés mon appel pour me rejoindre, surement car ils ont trouvé le temps long. 
En tout cas, le résultat et le même et mes pirates, accompagné de Zuko sont là.

> Aller on y va, Ordrix va nous montrer le chemin !

D'un signe de bras, tirant sur ma blessure et me faisant presque échapper un petit cri de douleur, j'invite tout le monde à me suivre. Prenant fièrement place à la tête du cortège improvisé, Ordrix marche encore une fois sur ses pas. Nous faisons comme lui le tour de la taverne, croisons l'homme mort devant la porte et nous y engouffrons. S'en suit l'ascension de l'escalier jonchés d'hommes morts et quasiment vidé de leur sang. D'ailleurs, à noter que les marches, recouvertes d'hémoglobine encore écarlate, sont devenus très glissante et à l'arrière, quelques uns trébuchent. 
Tranquillement, mais dans un bruit sourd de pas sur le parquet, nous avançons et retrouvons finalement le commandant de flotte de "La bête de métal". Bien que la douleur soit encore vive, je fais attention à en exprimer le moins possible, souriant et en dissimulant maladroitement ma blessure au flanc gauche.

> On est arrivé, on défonce tout alors non ?!

Ordrix me pointe du doigt une porte au fond de la pièce et je comprend alors, car elle est entrouverte qu'on va avoir à faire à un nouvel escalier pénible. Comprenant que ça va m'être encore compliqué à cause de mes multiples contusions qui me recouvrent tout le corps, je réfléchis à une autre approche. Je marche seul vers l'escalier et en l'examinant, j'en conclue que la dernière pièce se trouve juste au dessus de nous. Je retourne sur mes pas et regarde mes camarades avec un sourire grandissant. 

> J'ai une idée !

En y réfléchissant une dernière fois, je me dis que c'est surement une très mauvaise idée car comme j'ai pu le voir en bas, les voleurs ont peut-être d'autres balles en granit marin. Je l'ai appris à mes dépends et j'aimerais bien ne pas avoir à en subir une seconde fois les conséquences. Pourtant, surement retranché et prêt à livrer un âpre combat, les voleurs nous attendent à n'en pas douter. 
Franchement, depuis quand je pense aux mauvais cotés, l'effet de surprise sera forcément notre meilleur atout car en arrivant par la porte, nous serons du bétail à abattre pour cette bande d'enfoirée. C'est donc en me jetant corps et âme dans le dernier affrontement que je m'apprête à m'élancer. 

> Kaaaaen SooookuuDO

Mes jambes entières s'embrase en un clin d’œil et je me propulse vers l'étage supérieur, poing en avant. Ma force et ma vitesse de propulsion me permettent de passer au travers du bois nous séparant de nos adversaires et de nos affaires volées. Apparaissant derrière eux, créant une surprise immense. Derrière moi se trouve leur butin et devant, eux sont réfugiés derrière des barricades. Il leurs fusils en direction de la porte, ils avaient les cartes en main pour nous exterminer jusqu'au dernier. Les prenant au dépourvu, je frappe ci et là, de mes poings et mes pieds en semant le chaos dans leurs rangs. Cependant, alors que je répand mes dernières forces, la balle d'un pistolet vient me percuter en plein poitrail, passant entre les organes et restant figé en moi. Je m'effondre, touché par ce projectile lui aussi fait de kairouseki et mon sang s'écoule de ma blessure. Mes sens troublés par le choc et par mon fluide vitale qui s'échappe de mon corps, je ne peux qu'apercevoir le corps du tireur tombé, la tête qui explose. En réalité, ceci est l'oeuvre de Zuko, visant juste. Mes pirates en furies attaques de toute leur rage les voleurs et s'en suit une bataille que malheureusement je ne peux vraiment suivre. 

Ma respiration haletante, je ne comprend absolument pas ce qu'il se passe autour de moi. Mes camarades ont-ils gagnés, avec l'appui sans commune mesure que représente Ren, oui j'en suis persuadé.



 
 
 
 
 
 
 

 
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Ren W. Aoncan
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MessageSujet: Re: Ceux qu'il ne fallait pas voler Ceux qu'il ne fallait pas voler  - Page 2 EmptyMar 19 Jan - 18:47



Ceux qu'il ne fallait pas voler


Feat : ✘ Atoum Bachara




Le troll venait de partir après que je lui ais demandé d'aller chercher son capitaine et ses camarades. A vrai dire, j'aurais pus m'en occuper tout seul, mais bon il s'était aussi fait voler des objets, il avait bien le droit de défoncer ceux qui avaient faits ça, c'est la moindre des politesses. Ainsi, mettant ce temps à profit, je m'assis sur le sol en tailleur, plaçant mes mains sur mes genoux, je laissais mon Haki Perceptif se déployer tout autour de moi et en particulier vers le plafond. La pièce semblait très grande et encombrée de tout côtés, je sentais des dizaines de présences apparemment bien décidés à nous tuer. Mais, ils ne savaient certainement toujours pas à qui ils s'étaient attaqués. Leurs pensées n'étaient qu'insultes et injures, ils devaient savoir que nous avions tués tout leurs camarades, mais les chefs se trouvaient-ils parmi tout ces types ? Je voulais retrouver celui qui avait commandité ces vols pour lui exploser personellement sa petite gueule. Mais aucune présence parmi celles que je ressentais ne sortait du lot, pas de force particulière, des esprits simples, rien qui pouvait ressembler à un leader. Il n'était pas là ? Ou alors il faisait partie des cadavres derrière moi ? C'était possible remarque, j'avais du mal à me rendre compte de la force que je pouvais utiliser lorsque j'étais contrarié, peut-être qu'il était bel et bien plus fort que ses camarades mais que l'écart de force entre nous deux lui avait été fatal ? Je n'en savais strictement rien.

Je me relevais alors, rouvrant les yeux et souriant légèrement. Je faisais craquer mes doigts les uns après les autres, impatient qu'Atoum et ses sbires arrivent pour lancer l'assaut. Et, enfin, il fut là, suivit de quelques-uns de ses hommes, apparemment certains avaient un peu de mal avec la vision que je leur servais. Mon visage était à moitié couvert de sang, pas du mien évidemment mais celui de toutes mes victimes, en espérant qu'aucun d'entre eux n'ait de maladie contagieuse par le sang, ce serait con comme mort. Ma tunique rouge avait prit quelques couleurs, une véritable oeuvre d'art. Le Commandant du Dragon Rouge s'avançait alors vers moi, observant l'escalier et s'exclamant subitement qu'il avait une idée, comme si ça ne lui arrivait jamais, drôle de personnage celui-là. C'est alors qu'il hurle le nom d'une technique avant que ses jambes ne s'enflamment et le propulsent droit sur le plafond.

- Sinon, y avait une porte en haut de l'escalier en fait...dis-je alors, amusé devant la fougue de l'homme flamme.

Je le vis alors traverser le plafond et attérir dans la pièce qui était juste au-dessus. En effet, ça aurait été plus intelligent de défoncer la porte pour la leur balancer dans la gueule, surtout que ses compagnons ne pouvaient pas tous exécuter un saut assez important pour passer à travers le trou qu'il avait créé. Ainsi, levant un doigt, je leur montrais l'escalier avant de disparaître. Je m'étais élancé dans l'escalier, le montant en un instant jusqu'à foncer dans la porte qui vola en éclat. Derrière moi, les pirates montèrent les marches quatre à quatre.

C'est alors que je vis Atoum à terre, saignant apparemment à cause d'une balle. Comment un projectile avait-il put le blesser lui qui était fait de feu ? Ces hommes n'avaient pas la force ou l'expérience nécéssaire pour maîtriser le Haki, du Kairouseki alors ? Ils avaient les moyens dans ce cas car obtenir de cette roche était soit très cher soit très dangereux. Ils avaient sûrement optés pour l'achat ou le vol de ce granit marin, c'était fâcheux. Ils tournèrent alors leurs fusils dans ma direction et firent feu. Cependant, contrairement à mon homologue de rang dans la piraterie, je contrôlais assez bien le Haki Perceptif, pouvant ainsi sentir venir les balles et connaître leurs trajectoire à l'avance. J'utilisais alors mon pouvoir, m'élançant dans un mouvement presque imperceptible pour les voleurs, ceux-ci me voyant seulement comme un flou rouge, trop rapide pour qu'ils n'aient le temps de réagir. Néanmoins, la pièce était vaste et les voleurs étaient nombreux, à peine en avais-je écrasé cinq que d'autres arrivaient encore.

Dans le fond de la pièce, un tas d'or brillait de milles feu, de petites et grosses pierres précieuses y ajoutaient de la couleur tandis que de nombreux objets et armes y trônaient également. C'est alors que je la vis, mon épée d'or, plantée dans le tas d'or, à la manière de cette arme légendaire qui était plantée dans un rocher. Passant d'une vitesse décuplée à cinquante fois le potentiel de ma vitesse normale, je fonçais dans le tas, les voleurs volant sur mon passage juqu'à l'arme.




J'arrivais alors au sommet du tas d'or, ma main entourant la poignée de l'épée en la ressortant lentement, dans un tintement métallique presque mélodieux. Je la brandissais alors devant moi, un sourire sadique sur le visage. Une nouvelle fois, je repartis à une vitesse impressionante, légèrement baissé je passais entre nos adversaires, tranchant, éventrant et maculant le parquet d'une grande flaque écarlate. Je réapparaissais clairement devant les hommes d'Atoum alors qu'ils venaient à peine de se lancer dans le combat. Leur capitaine n'avait pas l'air d'être en très grande forme. Du côté des voleurs, des plaies s'ouvrirent subitement sur leurs corps, les gorges s'ouvrirent et certaines têtes retombèrent au sol en glissant du cou. Un véritable carnage. J'observais alors Atoum, apparemment inconscient, puis mon regard se posait sur ses camarades qui arrivaient déjà à son chevet.

- Je peux le ramener à votre navire, j'y serais en moins d'une minute votre toubib devrait pouvoir arrêter l'hémorragie. leur dis-je alors, étant plus un ordre qu'une simple proposition. Vous, occupez-vous de ramener ce gros butin, on trouvera sûrement un moyen de se le partager.

Suite à ces mots, je me déplaçais jusqu'au trésor où je préleva mon armure dorée, l'accrochant rapidement avec la jupe de lamelles de cuir. J'avais trouvé cet équipement dans un trésor bien plus gros, mais c'était amusant de le revoir ainsi. Ainsi réequipée, sentant le contact chaleureux de mon épée et mon armure contre ma peau, j'attrapais le corps de Atoum pour le placer sur mon épaule. Ni une ni deux, je m'élançais droit vers un mur, mon épaule libre droit en avant recouverte de Haki. Le mur vola en éclat et mon accélération me permit de survoler le sol sur une centaine de mètres. Me réceptionnant au sol, je traversais la forêt en augmentant ma vitesse petit à petit jusqu'à dépasser le mur du son dans un claquement désagréable. En quelques secondes, j'arrivais à nouveau sur la plage, ne m'arrêtant pas pour autant et continuant droit vers l'eau. Mon mouvement était si rapide que je courrais à quelques millimètres de l'eau comme si un nuage d'air soutenait mes pas.

Ce fut le freinage qui fut plus compliqué, tournant mes pieds parallèlement à la route que je prenais, je soulevais une grosse vague et je surfais dessus jusqu'au navire du Commandant. Là je bondis et attéris alors sur le pont, les personnes présentes sursautèrent en me voyant ainsi débarquer. Je lâchais le corps de leur capitaine en le jetant aux pieds de quelques pirates s'étant approchés sur leurs gardes. A la vue de Atoum dans ce piteux état, ils sortirent leurs armes et s'approchèrent en me menaçant. Gardant une attitude calme, je levais simplement les mains devant moi.

- Je ne suis pas responsable de son état et ce serait sûrement trop long à expliquer. commençais-je alors. Vous feriez mieux de l'amener à votre médecin pour le soigner et lui éviter une mort idiote. Je comprends que vous vous méfiez mais je vais tranquillement attendre ici qu'il se réveille ou que vos camarades reviennent afin de lever les soupçons que vous nourrissez à mon égard.

Sur ces mots, je m'assis en tailleur au milieu du pont, les pirates prenant le corps de leur capitaine pour l'emmener à l'intérieur du navire. Je détâchais le fourreau de mon épée pour le placer à plat devant moi, montrant ma bonne intention de ne pas poser de problèmes. Je fermais alors les yeux et déployait une nouvelle fois mon fluide perceptif, agissant également ainsi pour m'entraîner à son maniement.



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MessageSujet: Re: Ceux qu'il ne fallait pas voler Ceux qu'il ne fallait pas voler  - Page 2 EmptyMar 19 Jan - 21:13


 
 Ceux qu'il ne fallait pas voler

 
Dans ma tête un espèce de grésillement résonne, tandis que tous mes sens sont brouillés. Je perçois des bruits sourds tout autour de moi mais ne peux les identifier réellement. Ma vision se fait floue et je ne ressens même plus mon corps. L'ultime sensation que j'ai est celle d'un troue dans ma poitrine et du sang qui s'en écoule. La douleur est vive, ma respiration se fait de plus en plus difficile et le pire c'est que je suis impuissant face à ça. Le projectile de granit marin encore encastré dans mon torse neutralise mes pouvoirs et combiné à ma blessure, me fait mourir à petit feu. Mes yeux commencent à se fermer de plus en plus sans que je ne puisse les contrôler réellement. Pourtant, j'essaye tant bien que mal de lutter car, j'ai l'impression qu'une fois les yeux clôt je ne pourrais jamais les ouvrir à nouveau. 
Dans la douleur et poussant quelques "kuf" significatif, je crache du sang. Coulant sur mon menton, celui-ci est même entrain de m'étouffer. C'est donc comme ça que je vais mourir, que "Le Néant va mourir" ?
Malgré ma lutte incessante, mes yeux se ferme. Il n'y a maintenant plus que le vide devant moi. 
Ma légende n'a pas encore été écrite et je suis mort à cause d'une misérable balle de kairouseki. C'est minable, je n'ai pas eu l'étoffe pour suivre Marco. En vrai, je n'étais qu'un gamin surexcité qui voulait enfiler un costume trop grand. Un simple raté qui se croyait invincible. Voilà ce que j'étais, mais bon, maintenant tout ça est terminé.

Puis, dans un regain de volonté, je dis non, non je suis Atoum Bachara, celui que la Marine craint et qui est plus libre que n'importe qui. Voilà ce que je suis un homme qui a choisis sa voie et qui n'a pas encore accomplit ce qu'il doit faire. Je vais revenir, je ne peux mourir comme ça. 
C'est donc avec cette pulsion d'adrénaline mêlée à une volonté de fer que j'ouvre les yeux et tente de parler. 

> J.. je su..is, Bachara le ..... Néant 

Mes quelques mots à voix tellement basse que personne n'a plus les entendre sont entrecoupés d'une toux sanglante. Je continue à m'étouffer lentement avec mon propre liquide vital tandis qu'une tête tombe devant moi. Les yeux grands ouvert, elle semble me regarder droit dans les miens. 
Puis, dans l'impossibilité de faire quoi que ce soit, je m'évanouie à cause de mes blessures. Une triste fin pour moi, désolé Marco, Light et Ren je n'aurais pas eu le temps de vous surpasser.

Pendant tout ce temps, mes pirates se battent et grâce à la surprise crée par ma précédente arrivée fracassante puis celle du commandant de flotte de Raza, les voleurs sont déboussolés. Etant ainsi plus du tout attentif, "Les Flammes du Néant" entre en grande trombe en suivant Zuko et tuent tout le monde. Le sang coule, les corps tombent inerte et le butin est récupéré. C'est en premier mon second qui me découvre gisant dans mon sang, un trou dans la poitrine et inconscient. Tous m'entourent dans un silence de mort. Ren explique ses intentions et il n'y a que le sniper qui a les mots pour répondre.

> Très bien Ren ! Occupe toi de notre Capitaine et on se retrouve là-bas ! 

Agissant comme le capitaine en mon absence, il est obligé d'accepter les termes du pirate aux cheveux flamboyants. C'est selon lui la solution la plus intelligente et même s'il est profondément triste, il se doit de rester fort pour l'équipage. Le surhomme quitte la bâtisse en faisant un trou dans le mur puis s'en va à toute vitesse. C'est alors que les pirates, quelques même blessés, s'occupent de porter le "butin de guerre". En dehors de nos tonneaux d'alcool et de la hache d'Ordrix, il y a aussi un gros tas d'or et de pierres précieuses. Pourtant, même devant cette richesse certains pleurs et tout le monde connait la plus grande tristesse imaginable. 

> Vous croyez que le capitaine est mort ? Je veux pas qu'il meurt 

Les dires du pirate qui s'affaire à porter un sac remplit de berrys, sont un peu bégayer et sa voix complètement floués par l'émotion, sur ses joues une larme à coulée de chaque coté et ses yeux sont rouges de colère mais aussi témoignant de son immense tristesse. 

> Bien sûr qu'il est vivant, le Capitaine ne va pas mourir pour si peu !

> Capitaine fort, capitaine pas mourir !

Ordrix bien que ne pouvant simplement pas le montré est très affligé. Il ne fait que baisser la tête, regardant ses pieds pour en témoigner. A tour de bras l'or est placé dans des sacs puis transporter à l'extérieur. Les tonneaux sont eux aussi acheminé hors du repère des brigands et tout le monde se retrouve pour faire le point avant de partir afin de retourner au navire. 

> Bon, on se dépêche d'aller sur le "Néant" pour retrouver Ren et le Capitaine aller et on fait qu'un seul voyage je vous préviens.

Cette annonce est dur tant il y a à transporter pour si peu d'homme. Ordrix, en temps que colosse qu'il est, porte à lui seul deux sacs par bras plus un autre qu'il retient par sa bouche, c'est ça manière à lui de donner du courage aux autres. En plus de ça, l'une de ses cuisses a été blessées par balle et même pas un râle de douleur n'émane de lui. 
Tous les pirates, sans exception portent une part du butin, plusieurs sont blessés, que ce soit par balle ou par sabre et pourtant, malgré le sang encore frais qui coule et marque leur passage, aucun ne rechigne au labeur. Leur motivation est plus grande que tout, celle de revoir leur Capitaine. C'est donc avec cette volonté et cette nouvelle force que mes hommes avancent à grand pas pour me rejoindre. 

Sur le navire, tout est autre. Le reste de mes pirates est extrêmement méfiant à l'égard de cet homme bien qu'ils aient vu notre accord suite au combat. Ils savent qu'il est notre allié par le biais de nos capitaines respectifs. Le médecin de l'équipage s'approche de moi et avec l'aide de beaucoup, s'active pour procédé à l'intervention médical puis à ma stabilisation. Les A même le plancher du pont du "Néant", le pirate fait venir ses quelques outils de prédilections. Sa compétence n'est nullement mit en doute ici car il a pu sauver plusieurs de nos camarades, blessés lors de multiple batailles. Certains de mes hommes offrent de donner leur sang et ainsi, la perfusion peut-être faite sans encombre. Puis, avec habilité, le médecin prend une petite pince de fer et armé dans scalpel, il suit le chemin que la balle s'est frayée en moi pour finalement me la retirer. Deux hommes s'occupent d'éponger le sang tandis qu'un autre le front du chirurgien improvisé.
Ensuite, avec un peu moins d'habilité cette fois-ci, l'homme me recoud la poitrine afin de refermer ma blessure. 

Mon emplacement sur le pont est marqué dans le bois carrément à cause de tout le sang que j'ai perdu. Heureusement, ils ont pu stopper l'hémorragie à temps.

Quelques heures plus tard, je me relève d'un seul coup, respirant à fond et enchaînant avec grande rapidité inspiration et expiration. Autour de moi, tous mes hommes me regardent avec de grands yeux. Cependant, une grande douleur me tenaille et je m'allonge de nouveau. 

> Quoi ?!

> Capitaine restez allongé !

Je regarde tout autour de moi, sans vraiment comprendre. La tête encore un peu dans le cirage, je parviens quand même à dire de nouveau quelque chose. 

> Zuko, aide moi à m'asseoir et surtout, comment je suis arrivé là ?

Malgré mon ordre, mon second refuse d'accéder à ma demande et c'est Ordrix qui s'en occupe, m'occasionnant de nouveau une vive douleur dans la poitrine. 

> C'est le commandant de flotte de Raza qui vous a emmené ici ! Dite lui merci !

Au même moment l'un de mes hommes s'en va chercher mon sauveur tandis que je m'inquiète d'une autre chose. Il va falloir que je le remercie et pour ça, je ne connais qu'un seul moyen. 

> Donnez moi une choppe et qu'on la remplisse, faites en tous de même et nous allons faire une énorme fête !! 

Le médecin semble s'affoler, se tenant la tête avec ses deux mains. 

> Capitaine vous ne pouvez pas si tôt après avoir ..

> Ceci est un ordre, le Capitaine ainsi que nous tous le méritons !

Le pirate-médecin, résigné se fait une idée et abandonne de vouloir me contredire. De toute manière il sait bien que c'est perdu d'avance. 

> Moi content !

> Allez plus vite et aussi, préparez nous un festin qu'on puisse manger à notre faim !


  
 
 
 
 
 
 
 

 
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Ceux qu'il ne fallait pas voler

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