Ça fait quelques jours que je suis sur l'archipel Shabondy, je reste principalement sur les groves dix à douze. Comment toute bonne zone de non-droit les battons sont monnaie courante, surtout pour quelqu'un qui possède une si petite prime que la mienne. N'ayant pas d'embarcation, ni de navire équipage. Je me suis trouvée un boulot dans un bar du grove onze, le crane brisé. C'était le genre de nom qui pouvait indiquer le genre de clientèle présente devant le comptoir du bar.
Depuis mon arrivée comme serveuse, le patron trouvé que le nombre de client avait augmenté. Mais le Crane n'avait pas assez bonne réputation pour attirer de gros clients. Certes ceci pouvait vous apporter pas mal d'argent. Toutefois, il était aussi possible de perdre le bar dans une altercation entre grosse pointure. Néanmoins, pour moi c'était surtout, l'intérieur du bar qui devait jouer sur notre réputation.
Le comptoir lui était en très bon état l'ancien ayant finit avec deux pirates incrustés dedans. Trois sur huit tables tenaient à garce à des renforcements, deux autres tables étaient percées en de multi endroits. Probablement un travail réalisé au révolver, sans oublier les différentes marques de lame au bord des tables. Très semblable à celle qu'une lame laisserait. En plus de ça une bonne partie des décorations avaient reçu quelque dose de colle pour ne pas finir à la poubelle. Par chance le bar posséder un très bon alcool à un prix raisonnable. Ce qui expliquer pourquoi celui-ci arrivé encore à maintenir sa présence dans les lieux. Puis-je commence à croire que ce style de survivant plait à pas mal de client et pas seulement ça depuis mon arrivée.
Néanmoins, tout de ce passe pas toujours très bien dans le Crane Brisé. C'est le cas aujourd'hui, le patron du bar à comme qui dirait des dettes envers les responsables de la sécurité des groves 10 à 19. Pour faire simple ce sont de gros escrocs qui ne servent à qui rien et qui coute chère. Par contre, lorsqu'il faut venir récupérer l'argent qui leur est dû, le nombre et le niveau des gros bras employé pour ce genre de travail n'était pas du même calibre. Chose logique parce que si un ou plusieurs clients décidaient prendre la défense du barman comme dans notre cas, les évènements qui suivraient pourrait être assez violent.
Chose qui se réalisa assez rapidement, néanmoins nous avons choisi de faire usage d’une impétuosité modéré. Ainsi lorsque le groupe d’une dizaine de charogne fit irruption, n’ait pas enfoncé mon poing dans le visage du premier venue avec plus grande délicatesse un grizzli pouvait avoir. Étant serveur le barman me fit signe de servir le groupe. Le comité de vautour que les rassemblements formé demander cent mille berrys à mon employeur. Somme bien trop important pour que celui-ci puisse payer. Je pouvais payer pour le patron, mais non laissé cet amas de guignol partir tranquillement.
Ce n’était pas quelque chose que je pouvais accepter, pour une somme bien moins important je n’aurais pas bougé.
Cependant, au vu de telles conditions je me sentis dans l'obligation de faire un second service un peu spéciale. Je pris soins de présenter deux bouteilles du meilleur whiskey de l'établissement. Une fois que tout le monde fut servi. Chacune des bouteilles finirent sur une tête différente, l'effet de surpris vu d'un grand succès puisque je peux actif le totem du grizzli pour rajouté une personne à mon compteur de personne mise Ko. Le barman pu de son côté un autre homme de mains avec une batte.
Sur dix gros bras trois jonché le sol, suivant les indications du patron nous sommes sortis pour continuer les hostilités. Je m'attendais voir nos sept copains ce déchainé dans le bar. Ceux ce contentèrent de nous suivre à extérieur. Durant cinq minutes rien ne se passa, à croire que personne ne voyait d'ouverture. Toutefois, lorsque une trentaine de vinent les rejoindre. Je commençais à croire que nous étions plus que mal barrés. Par chance certains clients du bar étaient pas mal dans le genre tête brulé. Du coup notre nombreux monta deux six types, donc un Pirate combattant avec un marteau de guerre. Ceci était primé à soixante-quinze millions, ce qui eut pour conséquence d'agir sur le morale de mal de nos ennemis.
Voyez-vous lorsque la chance n'est pas avec moi, la situation n'évolue vraiment pas dans le bon sens. Ce fut donc sans surprise que la situation empira avec l'arrivée annoncée du chef des troupes adverses. J'avais comme hâte de voir sa tête puisse remotiver tout ce petit monde malgré la présence de notre pote au marteau.